- « Des jumeaux londoniens, de pères différents et de mère inconnue, conçus à Los Angeles et nés d’une mère porteuse canadienne… », Gènéthique, 30 janvier 2019.
Article archivé au format PDF (87 Ko, 2 p.).
- Blanchard (Sandrine), « Sophia Aram, farouchement féministe », Le Monde, nº 23034, 31 janvier 2019, p. 17.
Article archivé au format PDF (1.25 Mo, 2 p.).
- Froidevaux-Metterie (Camille), « Une condition féminine inédite », Le Monde, nº 23034, 31 janvier 2019, p. 21.
Article archivé au format PDF (1.09 Mo, 2 p.).
- Lappegård (Trude), et alii, « Fathers’ Use of Parental Leave and Union Dissolution », European Journal of Population, vol. 36, mars 2020 (en ligne le 30 janvier 2019), pp. 1-25.
Avec l’augmentation des ruptures de couples et l’évolution des comportements sexués, des questions ont émergé sur les liens possibles entre l’égalité des sexes et la stabilité des couples. Les auteurs de la présente étude ont examiné si et comment la participation précoce des pères à l’éducation de leurs enfants est liée aux ruptures de couples dans trois pays nordiques ayant réservé une partie du congé parental à l’un des parents afin de promouvoir l’engagement des pères dans l’éducation de leurs enfants. L’analyse utilise le congé parental des pères comme indicateur de leur implication et distingue les pères ne prenant pas de congé (non-conforming fathers), ceux ne prenant que la part réservée (policy-conforming fathers) et ceux prenant plus que la part réservée (gender-egalitarian-oriented fathers). Les couples dans lesquels le père utilise un congé parental ont un risque de rupture plus faible que ceux dans lesquels le père ne prend pas de congé. La tendance est la même pour tous les couples (concubins ou mariés), tous les pays et toute la période étudiée (1993-2011). Rien n’établit cependant que les couples dans lesquels les pères prennent des congés plus longs que la part réservée soient les plus stables.
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