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Jean-Hugues Réty
Jean-Hugues Réty a été condamné sans aucune raison un tant soit peu valable (excepté le fait – qu’il ne nie d’ailleurs pas – de n’être ni femme ni mère) à ne plus exercer son rôle parental affectif et éducatif auprès de ses enfants. Comme de nombreux autres pères, il sait qu’aucun rôle parental autre que très superficiel ne peut s’exercer en seulement quatre jours par mois, hors de tout quotidien scolaire. Comme tant d’autres, ses enfants sont privés de ce tout ce que leur père aurait continué à leur apporter si le glaive de la justice ne les avait pas séparés – et ce prétendument, comble du cynisme, au nom de leur “intérêt supérieur” ! Confronté à la discrimination que subissent les hommes dans le domaine de la famille, cet universitaire lit, réfléchit, débat, écrit pour apporter sa contribution à ce que les enfants de parents séparés puissent grandir dans une relation équilibrée avec leur père et avec leur mère.
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