- « Health Minister should focus on health crisis and not “exclusion zones” – Students For Life », Breaking News, 7 janvier 2020.
Article archivé au format PDF (152 Ko, 2 p.).
- « Projet de loi bioéthique devant le Sénat, l’agenda », Gènéthique, 7 janvier 2020.
Article archivé au format PDF (200 Ko, 2 p.).
- Barnett (Adrienne), « A genealogy of hostility: parental alienation in England and Wales », Journal of Social Welfare and Family Law, vol. 42, nº 1, 7 janvier 2020, pp. 18-29.
L’auteur de cet article militant retrace l’émergence et le développement de l’aliénation parentale en Angleterre et au Pays de Galles. Elle examine le contexte dans lequel l’aliénation parentale est apparue pour la première fois dans des procédures de droit privé concernant des enfants en Angleterre et au Pays de Galles ainsi que la façon dont elle a évolué dans la jurisprudence à travers l’évolution du contexte discursif et politique du droit privé de la famille de 2000 à fin mars 2019.
Article archivé au format PDF (0.99 Mo, 13 p.).
- Daley (Kevin), « Trump Administration Asks Supreme Court to Protect Louisiana Abortion Regulations », The Daily Signal, 7 janvier 2020.
Article archivé au format PDF (271 Ko, 2 p.).
- Feresin (Mariachiara), « Parental alienation (syndrome) in child custody cases: Survivors’ experiences and the logic of psychosocial and legal services in Italy », Journal of Social Welfare and Family Law, vol. 42, nº 1, 7 janvier 2020, pp. 56-67.
Nonobstant les controverses et critiques dont il est l’objet, le syndrome d’aliénation parentale est un concept fréquemment cité dans les salles d’audience et souvent utilisé par les professionnels. Cette étude qualitative militante analyse les expériences féminines ainsi que les pratiques des services juridiques et sociaux dans les affaires familiales en Italie. Des entretiens semi-structurés ont été menés avec des mères séparées victimes de violence ainsi qu’avec des psychiatres, psychologues et travailleurs sociaux désignés par les tribunaux pour évaluer les compétences parentales. Des documents juridiques, évaluations psychologiques et rapports d’experts ont également été analysés. Les résultats montrent que les professionnels reconnaissent l’aliénation parentale et la considèrent comme un problème spécifiquement féminin : les mères sont souvent accusées de se livrer à l’aliénation parentale quand elles prétendent assurer la sécurité des enfants, les récits de ces derniers sont interprétés comme résultant de la manipulation de leur mère et les pères sont considérés comme victimes de femmes vindicatives voulant garder les enfants pour elles. Ces pratiques semblent refléter l’approche selon laquelle la présence du père est essentielle au développement de l’enfant.
Article archivé au format PDF (0.99 Mo, 13 p.).
- Fouzder (Monidipa), « Divorce reform swiftly returns to parliament », The Law Society Gazette, 7 janvier 2020.
Article archivé au format PDF (25 Ko, 2 p.).
- Jacquin (Jean-Baptiste), Leroux (Luc), Schittly (Richard), « Des tribunaux paralysés par la grève des avocats », Le Monde, nº 23326, 8 janvier 2020, p. 7.
Article archivé au format PDF (1.40 Mo, 2 p.).
- Lapierre (Simon), et alii, « The legitimization and institutionalization of “parental alienation” in the Province of Quebec », Journal of Social Welfare and Family Law, vol. 42, nº 1, 7 janvier 2020, pp. 30-44.
Les auteurs de cet autre article militant examinent l’institutionnalisation et la légitimation du discours sur l’aliénation parentale dans la province de Québec, au Canada. Ils s’appuient sur une analyse de trente et un documents (articles dans les médias, articles de recherche, documents de formation, documents professionnels, législation et rapports) ainsi que sur des entretiens avec treize informateurs sélectionnés en fonction de leur connaissance de l’aliénation parentale dans la politique, la pratique ou la recherche. Les résultats de leur recherche montrent que l’institutionnalisation et la légitimation du discours sur l’aliénation parentale est un processus plus récent que dans d’autres pays et provinces, mais qu’elle a maintenant imprégné les procédures judiciaires en matière de droit de la famille. Les chercheurs universitaires et les médias ont joué un rôle déterminant dans ce processus d’institutionnalisation et de légitimation, les évolutions dans les politiques de protection de l’enfance ayant joué un rôle plus ambigu. Les résultats de leur recherche montrent également la tendance des chercheurs et experts à se distancer des travaux controversés de Richard Alan Gardner sur le syndrome d’aliénation parentale et à répondre aux critiques en proposant de nouvelles approches et de nouveaux concepts. Les expressions « aliénation parentale », « comportements aliénants » et « syndrome d’aliénation parentale » sont cependant souvent utilisées de manière interchangeable, et les pratiques d’évaluation ont tendance à reposer sur des indicateurs similaires.
Article archivé au format PDF (1.17 Mo, 16 p.).
- Leclerc (Gérard), « Liberté d’expression en danger », France catholique, 7 janvier 2020.
Article archivé au format PDF (138 Ko, 2 p.).
- Mackenzie (Deborah), Herbert (Ruth), Robertson (Neville), « “It’s Not OK”, but “It” never happened: Parental alienation accusations undermine children’s safety in the New Zealand Family Court », Journal of Social Welfare and Family Law, vol. 42, nº 1, 7 janvier 2020, pp. 106-117.
Alors que le slogan de la campagne publique en Nouvelle-Zélande en matière de violence familiale est « It’s Not OK », les féministes prétendent que les tribunaux des affaires familiales préfèrent le slogan « It never happened », au motif que les femmes n’y sont pas crues sur parole et que leurs craintes quant à la sécurité de leurs enfants sont parfois réinterprétées comme une tentative délibérée d’aliéner les enfants de leur père. Ayant interrogé des femmes néo-zélandaises sur leurs expériences devant les tribunaux des affaires familiales, l’organisation féministe The Backbone Collective a prétendu qu’elles avaient été nombreuses à avoir été accusées d’aliénation parentale. Cet article militant examine les sources de ces accusations et leur impact sur les enfants et leur mère.
Article archivé au format PDF (0.99 Mo, 13 p.).
- Meier (Joan S.), « U.S. child custody outcomes in cases involving parental alienation and abuse allegations: What do the data show? », Journal of Social Welfare and Family Law, vol. 42, nº 1, 7 janvier 2020, pp. 92-105.
Cet autre article militant présente les résultats d’une étude empirique sur dix ans d’affaires judiciaires américaines en droit de la famille impliquant des allégations d’aliénation parentale et de violence. Les résultats montrent que les allégations maternelles de maltraitance – en particulier de sévices physiques ou sexuels sur les enfants – augmentent le risque d’en perdre la garde et que les allégations croisées d’aliénation parentale de la part des pères doublent pratiquement ce risque. Les données indiquent cependant que l’aliénation parentale a un impact plus neutre dans les affaires sans violence.
Article archivé au format PDF (1.25 Mo, 15 p.).
- Rousseau (Céline), « Haut-Rhin : un père tue sa fille de 7 ans à Ingersheim », France Bleu, 7 janvier 2020.
Article archivé au format PDF (114 Ko, 1 p.).
- Schisterman (Enrique F.), et alii, « Effect of Folic Acid and Zinc Supplementation in Men on Semen Quality and Live Birth Among Couples Undergoing Infertility Treatment. A Randomized Clinical Trial », Journal of the American Medical Association, vol. 323, nº 1, 7 janvier 2020, pp. 35-48.
Les compléments alimentaires commercialisés pour améliorer la fertilité masculine contiennent généralement de l’acide folique et du zinc. Aucune étude à grande échelle n’avait cependant encore examiné l’efficacité de cette thérapie pour améliorer la qualité du sperme ou le nombre de naissances.
Les auteurs de cet article ont donc procédé à un essai clinique avec 2 370 couples (les femmes étant âgées de dix-huit à quarante-cinq ans, les hommes étant âgés d’au moins dix-huit ans avec un âge moyen de trente-trois ans) auxquels un traitement de l’infertilité avait été prescrit dans quatre centres américains spécialisés dans l’étude et le traitement de l’infertilité entre juin 2013 et décembre 2017. Les hommes ont été randomisés par centre d’étude et par traitement prévu de l’infertilité (fécondation in vitro ou autre traitement dans l’un des sites d’étude ou dans un établissement extérieur) pour recevoir soit 5 mg d’acide folique et 30 mg de zinc élémentaire soit un placebo chaque jour pendant six mois. Ont été mesurés le nombre de naissances vivantes résultant de grossesses survenant dans les neuf mois suivant l’essai et les paramètres de qualité du sperme (concentration, fragmentation de l’ADN, morphologie, motilité, nombre total de spermatozoïdes mobiles et volume) six mois après le début de l’essai. La dernière collecte de sperme a eu lieu en août 2018, et le traitement des données (informations sur la grossesse, naissances) a été achevé en avril 2019.
Le nombre de naissances vivantes n’a pas été significativement différent entre les deux groupes : 404 (34 %) dans le groupe ayant reçu acide folique et zinc, 416 (35 %) dans le groupe ayant reçu un placebo. La plupart des paramètres de qualité du sperme n’étaient pas non plus significativement différents entre les deux groupes six mois après le début de l’essai ; seule a été observée une augmentation statistiquement significative de la fragmentation de l’ADN avec la supplémentation en acide folique et en zinc. Les symptômes gastro-intestinaux (douleur ou inconfort abdominal, nausées, vomissements) ont par contre été plus fréquents avec la supplémentation en acide folique et en zinc.
Ces résultats ne légitiment donc pas la supplémentation en acide folique et en zinc pour le traitement de l’infertilité masculine.
Article archivé au format PDF (337 Ko, 14 p.).
- Sheehy (Elizabeth), Lapierre (Simon), « Introduction to the special issue », Journal of Social Welfare and Family Law, vol. 42, nº 1, 7 janvier 2020, pp. 1-4.
Article d’introduction au numéro spécial du Journal of Social Welfare and Family Law consacré à l’aliénation parentale.
Article archivé au format PDF (549 Ko, 5 p.).
Gunnar Schupelius
- « “Pro-Life People Will Not Be Bullied Into Silence” Says SPUC After Pro-Life Journalist’s Car Is Torched », Society for the Protection of Unborn Children, 7 janvier 2020.
Article archivé au format PDF (145 Ko, 2 p.).