Ont été regroupées ici toutes les publications de juin 2021 dont nous n’avons pu déterminer plus précisément la date de parution.
- The Canadian Marriage Map. A compilation of data on marriage, Hamilton, Cardus, 23 juin 2020 (mise à jour de juin 2021).
Document archivé au format PDF (2 Mo, 36 p.).
- Collectif, « Être père aujourd’hui », La Vie des AFC, nº 193, mai-juin 2021, pp. 5-12.
Document archivé au format PDF (2.93 Mo, 9 p.).
- Engelbach (Cathia), « Au cœur des tragédies », dBD, nº 154, juin 2021.
Article archivé au format PDF (180 Ko, 1 p.).
- Goussé (Marion), Leturcq (Marion), « More or Less Unmarried. The Impact of Legal Settings of Cohabitation on Labour Market Outcomes », Discussion Paper Series (Institute of Labor Economics), nº 14520, juin 2021.
Cette nouvelle étude canadienne révèle que la « spécialisation » économique souvent observée dans les couples mariés – où un époux, généralement le mari, travaille davantage à l’extérieur tandis que l’autre partenaire travaille davantage au foyer – se produit de plus en souvent dans les couples de concubins, le concubinage devenant légalement de plus en plus semblable au mariage. Ainsi, en Irlande, les couples de concubins acquièrent des droits assimilables au mariage après cinq ans, ou seulement trois s’ils ont des enfants.
Le concubinage est considéré comme un statut juridique en droit canadien après un an de cohabitation, et il est mentionné sur les déclarations de revenus. Les concubins sont éligibles à l’assurance automobile et aux régimes de retraite de leur partenaire. Entre 1972 et 1999, toutes les provinces – à l’exception du Québec – ont promulgué des lois permettant à certains concubins de réclamer une pension alimentaire après une rupture. Trois provinces ont même franchi un pas de plus en assimilant le concubinage au mariage au bout d’un certain temps, y compris pour le partage des biens après rupture.
La présente recherche révèle que les hommes concubins travaillaient 271 heures de plus par an lorsque le « régime de pension alimentaire » est entré en vigueur, tandis que les femmes concubines étaient 7,7 % plus susceptibles d’être au chômage ou au foyer. Lorsque le « régime matrimonial » a remplacé le « régime de pension alimentaire », les femmes sont devenues 4,4 % plus susceptibles d’être au chômage ou au foyer.
Article archivé au format PDF (460 Ko, 43 p.).