Ont été regroupées ici toutes les publications de décembre 2019 dont nous n’avons pu déterminer plus précisément la date de parution.
- Blanc (Aurélia), « Masculinisme. L’antiféminisme en embuscade », Causette, nº 106, décembre 2019, pp. 42-44.
- Blanc (Aurélia), « Syndrome d’aliénation parentale. Un travail de “sap” », Causette, nº 106, décembre 2019, pp. 45-48.
Articles archivés au format PDF (6.39 Mo, 7 p.).
- Collectif, Lettre de la Conférence nationale des mouvements (Union nationale des associations familiales), nº 48, décembre 2019.
On trouvera quelques nouvelles de l’association SOS PAPA p. 17.
Publication archivée au format PDF (626 Ko, 20 p.).
- Dunatchik (Allison), Mayer (Molly), Speight (Svetlana), Parents and time pressure: evidence from time use diaries, London, NatCen Social Research, décembre 2019.
Les auteurs de cette étude ont visé quatre objectifs :
- Analyser comment la gestion du temps par les mères et les pères a changé au Royaume-Uni au cours des quinze dernières années
- Examiner les facteurs familiaux et individuels dans la façon dont les parents gèrent leur temps
- Explorer la relation entre le bien-être des parents et leur gestion du temps (y compris le plaisir éprouvé par les parents en s’occupant de leurs enfants et/ou dans d’autres activités)
- Évaluer le rôle du travail flexible dans le bien-être et la gestion du temps des parents
Les chercheurs ont utilisé pour ce faire les données des United Kingdom Time Use Surveys (2000-2001 et 2014-2015). Ces enquêtes à grande échelle menées auprès des ménages ont permis de recueillir des données sur l’utilisation du temps à des intervalles de dix minutes, ainsi que sur le bien-être général et le plaisir ressenti pour chaque activité.
Un tiers des mères (33 %) déclarent se sentir toujours pressées, contre un peu moins du quart des pères (24 %). La grande majorité des parents se sentent pressés au moins une partie du temps ; seulement 8 % des mères et 12 % des pères déclarent ne jamais se sentir pressés.
Les mères consacrent un peu plus de temps à des tâches non rémunérées dans la journée (29 % de leur temps de travail, soit 3 heures et 48 minutes par jour) que les pères (27 % de leur temps de travail, soit 2 heures et 59 minutes par jour).
Le temps des mères est plus fragmenté que celui des pères : les mères passent d’une activité à une autre toutes les 38 minutes au long de la journée (à l’exclusion du temps passé à dormir ou effectuer un travail rémunéré), tandis que les pères changent d’activité toutes les 43 minutes.
La pression du temps n’a pas augmenté au cours des quinze dernières années. La plupart des données analysées montrent même qu’elle a diminué et que les parents sont désormais moins susceptibles de déclarer se sentir toujours pressés qu’en 2001.
Publication archivée au format PDF (1.36 Mo, 40 p.).
- Flour (Yvonne), « Où va le droit de la famille ? », La Lettre (Famille & Liberté), nº 99, décembre 2019.
Article archivé au format PDF (705 Ko, 6 p.).