- « Alfie : le juge approuve le plan de fin de vie contre l’avis des parents », Gènéthique, 12 avril 2018.
Article archivé au format PDF (134 Ko, 1 p.).
- « La Haute Autorité de Santé publie une fiche sur la contraception des adolescentes », Gènéthique, 12 avril 2018.
Article archivé au format PDF (112 Ko, 2 p.).
- Badinter (Elisabeth), Truong (Nicolas), « La sainte alliance des réactionnaires », Le Monde, nº 22784, 13 avril 2018, p. 18.
Article archivé au format PDF (591 Ko, 2 p.).
- Fransson (Emma), Hjern (Anders), Bergström (Malin), « What Can We Say Regarding Shared Parenting Arrangements for Swedish Children? », Journal of Divorce & Remarriage, Vol. 59, nº 5, 12 avril 2018, pp. 349-358.
La notion de résidence alternée fait référence aux enfants vivant alternativement et à peu près à égalité avec chacun de leurs deux parents après un divorce ou une séparation parentale. La pratique a été critiquée au nom du bien-être des enfants en raison des déplacements fréquents qui leur sont imposés et du stress potentiel lié au fait de vivre dans deux foyers. Cette étude décrit le contexte de la fréquence élevée de résidence alternée en Suède et les résultats de la recherche sur le bien-être des enfants suédois dans ce mode de vie. Les enfants en résidence alternée déclarent un meilleur bien-être et une meilleure santé mentale que les enfants qui vivent principalement ou uniquement avec un seul parent. Aucune étude suédoise n’a trouvé que la santé des enfants était pire en résidence alternée qu’en résidence exclusive à partir de l’âge de trois ans. La littérature existante ne peut cependant pas renseigner sur les mécanismes qui sous-tendent ces résultats.
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