Revue de presse du 20 juin 2017

« Le diagnostic prénatal source d’angoisse pour les femmes », Gènéthique, 20 juin 2017.

Article archivé au format PDF (394 Ko, 4 p.).

« Grève de la faim suspendue », La République des Pyrénées, nº 22071, 20 juin 2017, p. 4.

Article archivé au format PDF (185 Ko, 2 p.).

« Royaume-Uni : Charlie maintenu en vie en attendant la décision de la CEDH », Gènéthique, 20 juin 2017.

Article archivé au format PDF (111 Ko, 2 p.).

Collectif, Les 6-12 ans : une tranche d’âge qui pose questions, Toulouse, Observatoire départemental des familles de la Haute-Garonne, 20 juin 2017.

L’expérience de la parentalité est source de découvertes et d’enrichissements, mais elle n’est pas toujours simple. Culpabilité, inquiétude, questionnements, stress sont autant de sentiments éprouvés par les parents, qui doivent faire preuve d’adaptation afin d’assumer au mieux leur rôle. Pour ce faire, ils peuvent trouver et mobiliser diverses ressources. Si les périodes de la petite enfance et de l’adolescence sont bien ciblées, ce n’est cependant pas toujours le cas pour la tranche intermédiaire des six à douze ans.

Dans le cadre de sa mission de défense des intérêts des familles, l’Observatoire départemental des familles de l’Union départementale des associations familiales de la Haute-Garonne a souhaité se pencher sur cette problématique. Les résultats de son enquête ont fait l’objet d’une restitution publique organisée aujourd’hui à Belberaud. Les réponses des familles du département ont permis d’obtenir des éléments d’information sur différents points :

les préoccupations des familles ayant des enfants de cette tranche d’âge ;
les ressources sollicitées en cas de difficultés ou de questionnements ;
leurs besoins pour s’informer et être soutenus dans leur rôle éducatif.

Rapport archivé au format PDF (960 Ko, 48 p.).

Synthèse archivée au format PDF (238 Ko, 4 p.).

Conseil d’État, Rapport public 2017. Activité juridictionnelle et consultative des juridictions administratives en 2016, Paris, La Documentation française, 20 juin 2017.

Présentant l’activité consultative et juridictionnelle de la juridiction administrative au cours de l’année 2016, ce rapport annuel du Conseil d’État rassemble les indicateurs d’activité en dates et chiffres clés et propose une sélection d’avis et de décisions rendus par la juridiction administrative. Il rend compte également de l’apport du Conseil d’État, dans sa double fonction de conseil et de juge, à l’objectif de simplification du droit. Ce rapport comporte trois parties :

La partie juridictionnelle retrace l’activité des tribunaux administratifs, des cours administratives d’appel et du Conseil d’État. Elle présente l’analyse de plus de 200 décisions ordonnées par grands thèmes de la jurisprudence administrative : collectivités territoriales, plans de sauvegarde de l’emploi, fiscalité, urbanisme.
La partie consultative présente en 260 résumés les principales questions juridiques soulevées par l’examen de 1371 projets de texte soumis au Conseil d’État par le Gouvernement et le Parlement.
La partie « Études, débats, partenariats européens et internationaux » restitue les actions de coopération et de dialogue nationales, européennes et internationales de la juridiction administrative, ainsi que les suites données aux études du Conseil d’État.

Communiqué de presse archivé au format PDF (294 Ko, 4 p.).

Dossier de presse archivé au format PDF (454 Ko, 20 p.).

Rapport archivé au format PDF (3.97 Mo, 498 p.).

Garnerie (Laurence), « Le CNB remet 10 propositions à l’Élysée et à Matignon », Gazette du Palais, nº 23, 20 juin 2017, pp. 7-8.

Article archivé au format PDF (474 Ko, 2 p.).

Giampino (Sylviane), Pinto Gomes (Paula), « Comment transmettre le goût de l’effort à son enfant ? », La Croix, 20 juin 2017.

Article archivé au format PDF (31 Ko, 1 p.).

Lasry-Segura (Edith), « Assises de l’Oise : un père comparaît pour des viols sur sa fille de 4 ans », Le Parisien, 20 juin 2017.

Article archivé au format PDF (263 Ko, 2 p.).

Mérieau (Eugénie), « La Ve République reste profondément sexiste », Le Monde, nº 22530, 21 juin 2017, p. 23.

Article archivé au format PDF (576 Ko, 2 p.).

Murphy (Michael L. M.), et alii, « Offspring of parents who were separated and not speaking to one another have reduced resistance to the common cold as adults », Proceedings of the National Academy of Sciences, vol. 114, nº 25, 20 juin 2017, pp. 6515-6520.

L’exposition pendant l’enfance au divorce ou à la séparation des parents a été associée à un risque accru de morbidité physique à l’âge adulte. Les auteurs de cette étude ont testé l’hypothèse selon laquelle cette association est principalement attribuable aux parents séparés qui ne communiquent pas entre eux. Ils ont également examiné si l’exposition précoce à des parents séparés en conflit est associée à une plus grande réponse inflammatoire induite par un virus à l’âge adulte et à une susceptibilité accrue aux maladies des voies respiratoires supérieures induites par un virus. Après évaluation de la relation de leurs parents pendant leur enfance, 201 volontaires sains, âgés de dix-huit à cinquante-cinq ans, ont été mis en quarantaine, exposés expérimentalement à un virus provoquant un rhume et le développement d’une maladie respiratoire a été surveillé pendant cinq jours. La surveillance comprenait des évaluations quotidiennes de l’infection virale spécifique, des marqueurs objectifs de la maladie et de la production locale de cytokines pro-inflammatoires. Les adultes dont les parents vivaient séparés et ne parlaient jamais pendant leur enfance ont été plus de trois fois plus susceptibles de développer un rhume lorsqu’ils étaient exposés à un virus des voies respiratoires que les adultes issus de familles intactes. Les adultes dont les parents étaient séparés mais communiquaient entre eux n’ont montré à l’inverse aucune augmentation du risque par rapport à ceux issus de familles intactes. Ces différences ont persisté dans les analyses ajustées pour les variables potentiellement confusionnelles (affectivité, démographie, immunité de base au virus de test, indice de masse corporelle, saison, statut socio-économique actuel et statut socio-économique de l’enfance). Les analyses ont été cohérentes avec l’hypothèse selon laquelle une plus grande susceptibilité aux maladies infectieuses respiratoires parmi la progéniture de parents non communicants est attribuable à une plus grande réponse pro-inflammatoire locale à l’infection.

Article archivé au format PDF (577 Ko, 6 p.).