Parents, imaginez-vous passer seulement 47 jours par an avec vos enfants ?

Rémy Luttwiller devant le tribunal d’Aurillac (© Cloé Vianet)

Parents, signez s’il vous plaît ! Pour Jade (six ans), Lyllas (cinq ans) et Loukas (quatre ans)

Voilà, après une quinzaine de plaintes pour non-représentation d’enfants, une plainte pour escroquerie au jugement, j’ai passé une nouvelle fois la fête des pères devant le tribunal à manifester le droit d’être père. Le combat de la maman pour me couper des enfants est une totale supercherie, pire encore une totale réussite devant une justice qui préfère croire les mensonges plutôt que la vérité, et ce malgré des preuves accablantes. Aujourd’hui, j’ai seulement le droit de voir mes enfants quarante-sept jours par an… Une nouvelle action sera menée le 20 juillet, jour de mon anniversaire, qui se fera… sans mes enfants. Le but est de vous interpeller et vous mettre deux secondes à ma place, avec une seule question : parent, accepteriez-vous de voir vos enfants seulement quarante-sept jours par an ? Si vous ne l’imaginez même pas une seconde, signez cette pétition. J’ai besoin de vous pour qu’enfin la parole d’un papa soit écoutée !

Pour Jade, Lyllas et Loukas, mes trois bébés d’amour

Objectif : 1000 signature pour la nouvelle action prévue à l’occasion de mon anniversaire le 20 juillet.

Signez et partagez, s’il vous plaît.

Amicalement,

Rémy

Articles de presse

« Si je vous écris aujourd’hui mes enfant de ma nuit
C’est pour que vous sachiez que si j’ai tout perdu
Comme un chien je me suis battu
Pour mon droit de vous aimer comme un papa peut aimer.
Ils m’ont laissé errer sans toi dans ma colère
Ils ont piétiné encore une fois le droit des pères
Ils nous ont posés, vous et moi, sur le bord comme des serpillières

« Si je vous écris aujourd’hui, c’est que vous devez savoir qu’ils ne m’ont laissé
Que le droit de hurler vos prénoms dans le vent
J’ai perdu la plus importante de mes guerres
Vous voir grandir tous les jours, mes enfant
Nous sommes des milliers de pères le nez dans la poussière
Des milliers qu’ils ont jeté dans ce cachot, ce piège à rats, cette misère
Des milliers à pleurer “Madame la Justice, enlevez vos œillères”
Des milliers à mendier notre droit des pères

« Je m’en vais dans ma nuit
Nan, je ne vous laisse pas, nan, je veille de loin
Puisque c’est le seul de mes droits
J’aurai toujours une main sur le cœur, l’autre sur votre épaule
Je viendrai vous renifler, de loin, à la sortie de l’école
Nan, ils ne m’arracheront pas ça, ni eux, ni ta pauvre mère
Mes yeux de père »

Cali, Le droit des pères

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