- « Allemagne : les donneurs de sperme ne seront plus anonymes », Gènéthique, 29 mai 2017.
Article archivé au format PDF (106 Ko, 1 p.).
- « Un festival “interdit aux blancs” ? », La République des Pyrénées, nº 22053, 29 mai 2017, p. 29.
Le Nyansapo Fest, un « festival afroféministe militant à l’échelle européenne » qui doit se dérouler du 28 au 30 juillet dans une salle parisienne et dont la plupart des espaces sont réservés aux femmes noires fait polémique. Curieusement, celle-ci se focalise sur la ségrégation « colorée » voulue par les organisatrices du festival. Personne ne semble s’émouvoir de son caractère officiellement misandre…
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- Défenseur des droits, Enquête sur l’accès aux droits. Place et défense des droits de l’enfant en France, Paris, Défenseur des droits, 29 mai 2017.
Cette enquête a porté sur les déclarations de personnes ayant été témoins de situations où les droits de l’enfant n’ont pas été respectés.
Une personne sur deux est en mesure de citer spontanément un des droits protégés par la Convention internationale des droits de l’enfant. Les droits mentionnés sont souvent les mêmes, à savoir : le droit à l’éducation, le droit d’être protégé contre les maltraitances ou encore le droit d’être en bonne santé.
En moyenne, 16 % de la population rapporte avoir été témoin d’une atteinte aux droits de l’enfant dans les cinq dernières années. Parmi les personnes qui citent au moins un droit de l’enfant, cette proportion s’élève à 22 %.
Les situations de maltraitance (physique, verbale, psychologique et/ou sexuelle) sont les plus fréquemment rapportées. En moyenne, une personne sur dix déclare avoir été témoin d’une situation de maltraitance dans les cinq dernières années.
Face à une atteinte aux droits de l’enfant, une personne sur deux entame des démarches pour faire reconnaître cette situation. Le fait de citer au moins un droit de l’enfant double la probabilité d’entamer des démarches pour faire reconnaître la situation d’atteinte aux droits d’un enfant. Les personnes qui n’entament pas de démarches suite au constat d’une atteinte aux droits d’un enfant évoquent le manque de preuves comme frein à leur action (53 %), mais aussi l’idée que « ça ne les regarde pas » (41 %). Plus les atteintes aux droits de l’enfant sont fréquentes, moins les alertes sont importantes.
Quelle que soit l’atteinte aux droits de l’enfant rapportée, l’école constitue le principal interlocuteur pour les personnes souhaitant faire reconnaître cette situation.
Document archivé au format PDF (684 Ko, 31 p.).