On ne peut qu’être impressionné par la célérité du système judiciaire lorsqu’il s’agit de protéger les chiots de la violence féminine. Une jeune hystérique d’une vingtaine d’années s’étant amusée à défenestrer un chiot au cours d’une dispute avec son conjoint (voir notre article d’hier), la police paloise n’a pas tardé à convoquer le couple, tandis que le parquet ordonnait le placement d’un second chiot appartenant aux protagonistes. Notre correspondant local prétend que ledit système judiciaire serait beaucoup moins prompt à protéger les enfants et les pères, mais ses propos nous paraissent quelque peu exagérés. Il suffit manifestement d’aboyer pour être entendu…
« Pau : le placement de l’autre chiot ordonné par le parquet », La République des Pyrénées, nº 21907, 6 décembre 2016, p. 4.
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