Revue de presse du 20 octobre 2016

Revue de presse

  • « Maman sévère face au tribunal », 20 minutes (Lausanne), 20 octobre 2016, p. 11.

20 minutes, 20 octobre 2016, p. 11




Insee Dossier Île-de-France, nº 2, 20 octobre 2016L’Institut national de la statistique et des études économiques, l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Île-de-France, l’Atelier parisien d’urbanisme, la Direction régionale et interdépartementale de l’équipement et de l’aménagement d’Île-de-France et la Direction régionale et interdépartementale de l’hébergement et du logement d’Île-de-France se sont associés pour réaliser cet ouvrage sur l’évolution de la taille des ménages franciliens. En diminution constante depuis 1968, le nombre moyen d’occupants par résidence principale s’est stabilisé en Île-de-France autour de 2,3 personnes par ménage depuis 2006, alors qu’il continue à baisser en province. Auparavant largement supérieur à celui de la population, le taux de croissance du nombre de ménages franciliens s’en est en effet progressivement rapproché depuis une vingtaine d’années, pour atteindre désormais des niveaux comparables. Même si le jeu des migrations modère cet effet, seul le vieillissement de la population contribue à la baisse de la taille moyenne des ménages en Île-de-France. Ce facteur de baisse est compensé par les évolutions des modes de vie franciliens, lesquels poussent à l’inverse à l’accroissement du nombre de personnes par ménage. En particulier, la population des jeunes de dix-huit à trente-quatre ans diminue et leur décohabitation devient de plus en plus tardive. Ce sont autant de jeunes et petits ménages qui ne se forment pas.


Insee Analyses Île-de-France, nº 41, 20 octobre 2016

La taille moyenne des ménages franciliens s’est stabilisée depuis 2006 et est désormais supérieure à celle des autres régions de la métropole, où elle continue de baisser. Même si l’impact des migrations modère cet effet, seul le vieillissement de la population contribue à la baisse de la taille moyenne des ménages en Île-de-France. Ce facteur de baisse est compensé par les évolutions des modes de vie franciliens, lesquels poussent à l’inverse à l’accroissement du nombre de personnes par ménage.




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