- « Complications arising from “DIY” home abortions massively underreported, new data suggests », Right To Life, 19 janvier 2021.
Article archivé au format PDF (192 Ko, 3 p.).
- « Covid-19 : les femmes se tournent vers la PMA », Gènéthique, 19 janvier 2021.
Article archivé au format PDF (333 Ko, 2 p.).
- « Égalité hommes-femmes : Le Maire favorable à des quotas », Le Monde, nº 23649, 20 janvier 2021, p. 10.
Article archivé au format PDF (1.29 Mo, 2 p.).
- « L’Italie en déficit de population : l’équilibre social et financier en suspens », Gènéthique, 19 janvier 2021.
Article archivé au format PDF (864 Ko, 2 p.).
- Allsop (David B.), et alii, « Applying the developmental model of marital competence to sexual satisfaction: Associations between conflict resolution quality, forgiveness, attachment, and sexual satisfaction », Journal of Social and Personal Relationships, Vol. 38, nº 4, 19 janvier 2021, pp. 1216-1237.
La satisfaction sexuelle est une construction complexe affectée par de nombreux facteurs divers. Sans un cadre global guidant leur travail, les praticiens et universitaires travaillant avec des couples mariés peuvent se concentrer par inadvertance sur un seul facteur affectant la satisfaction sexuelle et limiter par la suite l’efficacité de leur pratique et de leur recherche. À travers une discussion et un exemple empirique, la présente étude montre comment le modèle développemental de la compétence conjugale – une théorie complète pour comprendre les processus conjugaux – peut être utilisé par les praticiens et universitaires pour guider leur travail sur la satisfaction sexuelle et élargir leur approche. Utilisant des données représentatives pour les États-Unis provenant de 2 114 couples mixtes et guidés par le modèle d’interdépendance acteur-partenaire, les auteurs de l’étude ont testé les associations entre la satisfaction sexuelle des épouses et des maris et trois facteurs – qualité de la résolution des conflits, pardon, évitement et anxiété, correspondant aux trois domaines du modèle de développement de la compétence conjugale, la communication conjugale, les vertus conjugales et les identités conjugales. Les résultats de l’étude soutiennent empiriquement l’utilisation du modèle de développement de la compétence conjugale pour travailler sur les relations sexuelles parmi les couples hétérosexuels mariés. Les variables de chacun des trois domaines du modèle sont associées à la satisfaction sexuelle pour les deux partenaires, les variables du domaine évitement et anxiété étant associées aux changements de la satisfaction sexuelle au fil du temps.
Article archivé au format PDF (389 Ko, 22 p.).
- Berhuet (Solen), et alii, Les attentes des Français envers les politiques familiales en 2020, Paris, Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie, collection des rapports (nº 344), 19 janvier 2021.
Les Français attendent des prestations familiales et sociales qu’elles s’adaptent aux besoins des familles. Si la natalité n’est pas une priorité pour l’opinion, elle appelle de ses vœux le versement des prestations familiales dès le premier enfant, et avec un montant égal pour tous. Si, dans leur grande majorité, les Français soutiennent les plafonnements des prestations familiales, excluant les plus aisés, et la priorité donnée aux plus modestes, ils n’adhèrent pas à la diminution des aides pour les classes moyennes. Favoriser un bon équilibre de vie et la parité, renforcer l’offre d’accueil collectif, etc., sont autant de pistes pour une meilleure adéquation des aides aux besoins des familles actuelles.
Les Français attendent des prestations familiales et sociales qu’elles s’adaptent aux besoins des familles. Si la natalité n’est pas une priorité pour l’opinion, elle appelle de ses vœux le versement des prestations familiales dès le premier enfant, et avec un montant égal pour tous. Si, dans leur grande majorité, les Français soutiennent les plafonnements des prestations familiales, excluant les plus aisés, et la priorité donnée aux plus modestes, ils n’adhèrent pas à la diminution des aides pour les classes moyennes. Favoriser un bon équilibre de vie et la parité, renforcer l’offre d’accueil collectif, etc., sont autant de pistes pour une meilleure adéquation des aides aux besoins des familles actuelles.
Les Français aspirent également à davantage de stabilité : le soutien aux réformes touchant les allocations familiales diminue, il n’y a pas d’adhésion forte au calcul plus réactif du montant des aides et l’hypothèse d’un revenu universel divise la population et inquiète les publics cibles.
Le contexte sanitaire de confinement n’a pas été sans impact : il a favorisé un retour à des rôles genrés traditionnels (deux fois plus de femmes que d’hommes se sont arrêtés de travailler pour prendre en charge un enfant) et amplifié le besoin de protection et de stabilité. Si le système a su s’adapter dans l’urgence, les craintes pour l’avenir sont réelles.
Rapport archivé au format PDF (4.86 Mo, 293 p.).
- Cordier (Solène), « L’expérience de la parentalité modifiée par la crise », Le Monde, nº 23649, 20 janvier 2021, p. 13.
Article archivé au format PDF (1.20 Mo, 2 p.).
- Gevin (Maxence), Toulemon (Laurent), « Quels sont les effets de la pandémie sur la démographie française ? », LCI, 19 janvier 2021.
Article archivé au format PDF (265 Ko, 3 p.).
- Lucas (Emmanuelle), « Ces Français qui voudraient un troisième enfant et ne l’ont pas », La Croix, 19 janvier 2021.
Article archivé au format PDF (582 Ko, 3 p.).
- Morin (Violaine), « Blanquer maintient sa position sur l’instruction à domicile », Le Monde, nº 23649, 20 janvier 2021, p. 12.
Article archivé au format PDF (1.41 Mo, 2 p.).
- Morinière (Pascale), « Le défi de la fécondité dont le taux est en baisse », RCF, 19 janvier 2021.
Article archivé au format PDF (1.82 Mo, 2 p.).
- Nicole (Laura), « Abortion activists target pro-life Dominican Republic to be the next Argentina », Live Action, 19 janvier 2021.
Article archivé au format PDF (198 Ko, 2 p.).
- Papon (Sylvain), Beaumel (Catherine), « Bilan démographique 2020. Avec la pandémie de Covid-19, nette baisse de l’espérance de vie et chute du nombre de mariages », Insee Première, nº 1834, 19 janvier 2021.
Publié aujourd’hui, le dernier bilan démographique de l’Institut national de la statistique et des études économiques révèle notamment que l’année 2020 a été particulièrement marquée par une augmentation du nombre de décès, une baisse de l’espérance de vie et un recul des mariages et des naissances.
La France comptait 67,4 millions d’habitants au 1er janvier dernier, soit une augmentation de 0,3 % au cours de l’année 2020. Cette progression est due pour moitié au solde naturel (différence entre les nombres de décès et de naissances), qui a fortement baissé en 2020 du fait de la hausse du nombre de décès liés à la pandémie de Covid-19. Selon l’Institut national de la statistique et des études économiques, ce solde était de 82 000 personnes en 2020, contre plus de 140 000 personnes en 2019.
658 000 personnes sont décédées en France en 2020, soit 7,3 % de plus qu’en 2019. Cette augmentation des décès a notamment touché les personnes de soixante-cinq ans et plus. La pandémie de Covid-19 a particulièrement affecté les décès au printemps et en fin d’année. L’espérance de vie à la naissance s’établit à 85,2 ans pour les femmes et 79,2 ans pour les hommes, soit une nette diminution par rapport à 2019 (– 0,4 an pour les femmes et – 0,5 an pour les hommes). La baisse est bien plus forte qu’en 2015, année marquée par une forte grippe hivernale (– 0,3 an et – 0,2 an).
L’Institut national de la statistique et des études économiques confirme par ailleurs la tendance à la baisse de la natalité depuis 2015 avec la naissance de 740 000 bébés en France en 2020, contre 753 000 en 2019. L’indicateur conjoncturel de fécondité a continué de baisser et s’établissait à 1,84 enfant par femme en 2020, contre 1,86 en 2019. La France était encore le pays le plus fécond de l’Union européenne en 2018.
148 000 mariages ont été célébrés en 2020 (144 000 entre personnes hétérosexuelles et 4 000 entre personnes homosexuelles), soit un très net recul de 34,1 % par rapport à 2019. Cette baisse est à mettre en rapport avec la pandémie de Covid-19 : les célébrations de mariage avaient été interdites au moment du confinement du printemps, puis le nombre d’invités avait été limité lorsque les célébrations avaient à nouveau été autorisées, de sorte que de nombreux projets de mariages ont été annulés ou repoussés. Le nombre de pactes civils de solidarité s’est par ailleurs établi à 196 000 en 2019 (soit 13 000 en moins par rapport à 2018).
Article archivé au format PDF (607 Ko, 4 p.).
- Pellen (Christine), « Congeler la vie humaine, pour quelles conséquences ? », Aleteia, 19 janvier 2021.
Article archivé au format PDF (356 Ko, 3 p.).
- Picard (Nathalie), Roskam (Isabelle), « En courant après la perfection, les parents creusent leur propre tombe », Le Monde, nº 23649, 20 janvier 2021, p. 29.
Article archivé au format PDF (1.29 Mo, 2 p.).
- Slicker (William D.), « Parental Alienation Syndrome: A Newer Name for an Older Problem », Family Lawyer Magazine, 19 janvier 2021.
Article archivé au format PDF (144 Ko, 3 p.).
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