- « Les AFC rencontrent le secrétaire d’État Adrien Taquet », Associations familiales catholiques, 1er septembre 2020.
Article archivé au format PDF (180 Ko, 1 p.).
- « Same sex-marriage triggers uproar in UP », The Hans India, 1er septembre 2020.
Article archivé au format PDF (32 Ko, 1 p.).
- « Same-sex religious weddings now allowed », Irish Legal News, 1er septembre 2020.
Article archivé au format PDF (177 Ko, 1 p.).
- Adams (John), « How dads can get more flexibility at work », DaddyJobs, 1er septembre 2020.
Article archivé au format PDF (49 Ko, 3 p.).
- Chesnel (Hélène), Kurzmann (Jonathan), « Des familles moins nombreuses, exposées à des difficultés financières », Insee Analyses Pays de la Loire, nº 82, 1er septembre 2020.
Initiée par l’Union régionale des associations familiales des Pays de la Loire, cette étude sur l’évolution des modèles familiaux et leurs enjeux aux niveaux départemental, intercommunal et régional a eu pour objectif de mieux comprendre les changements sociétaux afin que la parole des familles soit mieux portée auprès des pouvoirs publics départementaux et régionaux. Elle a été menée conjointement avec la région des Pays de la Loire, intéressée par cette analyse dans le cadre du travail qu’elle mène actuellement sur « Ma Région 2050 », en s’appuyant sur l’éclairage et le travail d’analyse de l’Institut national de la statistique et des études économiques à partir des données dont elle dispose.
52 % des Ligériens vivaient au sein d’une famille avec un ou plusieurs enfants en 2016, contre 70 % en 1968. C’est toujours plus que dans le reste de la France métropolitaine, mais les structures familiales ont quand même fortement évolué dans les Pays de la Loire : même si vivre en couple avec plusieurs enfants y reste une spécificité, vivre au sein d’une famille nombreuse est nettement moins fréquent qu’il y a cinquante ans. Les Pays de la Loire se caractérisaient alors par une forte présence de familles avec trois enfants ou plus ; elles n’en comportent désormais plus souvent que deux.
Appartenir à une famille dite « monoparentale » est en revanche deux fois plus fréquent que cinquante ans auparavant, en raison du nombre croissant de séparations. Si 77 % des enfants mineurs vivaient toujours avec leurs deux parents en 2016 dans les Pays de la Loire, 17 % – soit 166 000 – vivaient avec un seul de leurs parents. Or, les personnes vivant au sein d’une famille dite « monoparentale » sont particulièrement fragiles et plus exposées à la pauvreté que les autres : une sur trois (33 %) vit sous le seuil de pauvreté.
Même si c’est dans une moindre mesure qu’au plan national, les familles nombreuses sont également plus touchées par la pauvreté : 14,6 % des personnes dans les couples avec trois enfants ou plus sont pauvres. Si l’offre d’accueil est abondante dans les Pays de la Loire, les familles pauvres font moins fréquemment garder leurs jeunes enfants que les autres ménages. Les familles fragilisées sont plus présentes dans les grandes agglomérations et dans les territoires peu denses du pourtour de la région.
L’Institut national de la statistique et des études économiques propose également quelques projections à l’horizon 2050, si les comportements de décohabitations et les tendances démographiques se poursuivaient.
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