- « Conseil de Lecture + Annonce qui devrait faire plaisir », OsAlnef, 2 juillet 2020.
- Alexandre (Stéphanie), « Le non-respect du droit de visite et d’hébergement est sanctionné », Le Figaro Particulier, 2 juillet 2020.
Article archivé au format PDF (37 Ko, 2 p.).
- Bentz (Jan), Habsbourg-Lorraine (Edouard, de), « Hongrie : La nation d’Europe la plus favorable à la famille », International Family News, 2 juillet 2020.
Article archivé au format PDF (230 Ko, 4 p.).
- Collins (Charles), « UK Pro-life leaders warn against “hijack” of Domestic Abuse Bill to liberalize abortion law », Crux, 2 juillet 2020.
Article archivé au format PDF (96 Ko, 2 p.).
- Felix (Jason), « Civil Union Amendment Bill: Marriage officers won’t be allowed to turn down same-sex couples », news24, 2 juillet 2020.
Article archivé au format PDF (66 Ko, 2 p.).
- Galindo (Gabriela), « Vote on key changes to Belgium’s abortion rights law blocked for the third time », The Brussels Times, 2 juillet 2020.
Article archivé au format PDF (138 Ko, 2 p.).
- Hurley (Lawrence), « U.S. Supreme Court rebuffs abortion clinic protest zone challenges », Reuters, 2 juillet 2020.
Article archivé au format PDF (24 Ko, 1 p.).
- Johnson (Marty), « Russia votes in favor of referendum banning gay marriage », The Hill, 2 juillet 2020.
Article archivé au format PDF (55 Ko, 2 p.).
- La Rochère (Ludovine, de), « Projet de loi Bioéthique – Le débrief de Ludo nº 1 », La Manif Pour Tous, 2 juillet 2020.
- Mansilla (Christine), « Loi de bioéthique : vers une introduction de la GPA qui ne dit pas son nom ? », Gènéthique, 2 juillet 2020.
Article archivé au format PDF (152 Ko, 2 p.).
- Reynolds (Tania), et alii, « Man up and take it: Gender bias in moral typecasting », Organizational Behavior and Human Decision Processes, Vol. 161, novembre 2020 (en ligne le 2 juillet 2020), pp. 120-141.
En appliquant la théorie de la transposition morale, les auteurs de cette recherche ont pu prédire un biais sexiste dans l’évaluation des préjudices, de sorte que les femmes sont plus facilement classées comme victimes et les hommes comme auteurs. Dans six études menées avec 3 137 participants dans quatre pays, les évaluations des préjudices sont systématiquement influencées par le sexe des cibles, suggérant un biais sexiste dans la typographie morale. Les participants à une première étude ont estimé qu’une personne blessée était une femme, surtout lorsqu’elle était étiquetée « victime ». Les participants à une seconde étude ont perçu des formes animées perpétuant des méfaits comme des hommes et les formes victimes comme des femmes. Les participants à une troisième étude ont estimé qu’une employée prétendant avoir été harcelée était davantage une victime qu’un employé faisant des déclarations identiques. Une quatrième étude a confirmé que les femmes victimes ressentent plus de douleur à la suite d’une blague ambiguë et que les hommes coupables se voient imposer des peines plus sévères. Une cinquième étude a montré que les managers sont perçus comme moins moraux lorsqu’ils licencient des femmes. Une sixième étude a montré que la possibilité de discrimination fondée sur le sexe intensifie le lien cognitif entre les femmes et le statut de victime.
Article archivé au format PDF (946 Ko, 23 p.).
- Vanbellingen (Léopold), « Extension de l’avortement à 4 mois et demi : l’adoption de la proposition de loi s’éloigne à nouveau », Institut européen de bioéthique, 2 juillet 2020.
Article archivé au format PDF (57 Ko, 2 p.).