Communiqué de presse de l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française
On croit être atteint d’hallucinations. Il faut s’y reprendre à deux fois pour bien lire ces mots que le député macronien Jean-Louis Touraine a osé écrire en son jargon : « Il n’y a pas de droit de l’enfant à avoir un père, à quelque moment que ce soit ! »
À ce jour, aucune barbarie, ancienne ou moderne, n’avait sécrété à ce niveau de responsabilité politique pareille monstrueuse élucubration. Ainsi, dans une société où à chaque instant on invoque, souvent à tort et à travers, les droits de l’homme, c’est le rapporteur de la loi relative à la bioéthique en cours de vote à la chambre des députés qui a pu émettre cette énormité.
Le génial prophète Aldous Huxley dans Le meilleur des mondes eût pu la faire proférer à l’un de ses personnages !
Nous voici donc très explicitement menés avec cet idéologue du Grand Orient de France, conseiller chéri de la macronnerie à l’ère des enfants sans pères, à l’ère des enfants qui ne sauraient revendiquer le droit d’avoir un père.
Est désormais venu le temps des « bébés éprouvettes » ! Et demain, évidemment, son extension pour la fabrication de la continuité du « genre humain ». On n’avait entendu cela que dans les sectes socialistes les plus déjantées.
Dans la logique de ce concept sociétal, le père étant désormais superflu, il serait logique que M. Touraine, s’il a des enfants, et ses idéologiquement semblables, donnent l’exemple en abandonnant leurs droits de paternité, ce qui est d’ailleurs légalement possible dans les cas extrêmes de dissolution familiale.
Comment ne pas voir que la subversion sociétale de la macronnerie en arrive aux pires pratiques des totalitarismes où l’enfant ne peut être que la propriété de l’État.
On est là dans le règne du pire racisme, le racisme antihumain.
Communiqué archivé au format PDF (90 Ko, 2 p.).