Revue de presse du 4 septembre 2019

Revue de presse





  • « Le Grenelle s’ouvre avec du concret », 20 minutes, nº 3446, 4 septembre 2019, p. 8.


  • Cordier (Solène), « Féminicide », Le Monde, nº 23219, 5 septembre 2019, p. 31.

  • Cordier (Solène), « Même si ça a été dur, je veux dire que c’est possible de s’en sortir », Le Monde, nº 23219, 5 septembre 2019, p. 10.
  • Cordier (Solène), Sanchez (Léa), « Violences conjugales : les premières mesures saluées », Le Monde, nº 23219, 5 septembre 2019, p. 10.




  • Lichter (Daniel T.), Price (Joseph P.), Swigert (Jeffrey M.), « Mismatches in the Marriage Market », Journal of Marriage and Family, vol. 82, nº 2, avril 2020 (en ligne le 4 septembre 2019), pp. 796-809.

Cet article évalue l’actuelle confrontation des femmes célibataires à une pénurie démographique de partenaires conjugaux sur le « marché du mariage » américain. Une des explications de la baisse du mariage est en effet la pénurie présumée de partenaires économiquement attractifs pour les femmes célibataires. Des études antérieures ont donné des résultats mitigés, mais elles portaient généralement sur les déséquilibres de sex-ratio plutôt que sur l’identification de pénuries en fonction des multiples caractéristiques socio-économiques qui distinguent généralement les femmes et les hommes dans le mariage. La présente étude porte sur les mariages récents recensés dans les fichiers de l’American Community Survey pour les périodes 2008-2012 et 2013-2017. Les méthodes d’imputation des données permettent d’estimer les caractéristiques socio-démographiques des conjoints potentiels des femmes célibataires par comparaison avec les maris de femmes par ailleurs comparables. Ces estimations ont ensuite été comparées à la répartition réelle des hommes célibataires aux niveaux national, régional et local, afin d’identifier les déséquilibres du « marché du mariage ». Ces maris potentiels ont un revenu moyen environ 58 % supérieur à celui des hommes célibataires actuellement disponibles pour les femmes célibataires. Ils sont également 30 % plus susceptibles d’avoir un emploi (90 % contre 70 %) et 19 % plus susceptibles d’avoir un diplôme universitaire (30 % contre 25 %). Les minorités ethniques et raciales, en particulier les femmes noires, doivent faire face à une grave pénurie de partenaires conjugaux, tout comme les personnes à statut socio-économique élevé ou faible, à tous les niveaux géographiques. Cette étude confirme donc d’importants déficits dans l’« offre » de futurs époux, qui conduit les femmes célibataires à le rester ou à épouser des partenaires d’un standard inférieur.


  • Mandard (Stéphane), « Tous contaminés par les perturbateurs endocriniens », Le Monde, nº 23219, 5 septembre 2019, p. 12.


  • Politi (Caroline), Ronai (Ernestine), « Il faut mettre en place une présomption de crédibilité », 20 minutes, nº 3446, 4 septembre 2019, p. 2.

  • Quignon (Catherine), « L’index égalité femmes-hommes arrive dans les entreprises de moins de 1 000 personnes », Le Monde, nº 23219, 5 septembre 2019, p. 17.

  • Vié (Caroline), « François Damiens prend de la bouteille », 20 minutes, nº 3446, 4 septembre 2019, p. 11.

Jean Latizeau

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