- « Thierry Berger, père, divorcé, privé de ses trois enfants », Boulogne Magazine, nº 2, mai-juin 2018, pp. 10-15.
Article archivé au format PDF (2.80 Mo, 7 p.).
- « Zoom sur Couples et Familles du Haut-Rhin », Lettre d’information (UDAF du Haut-Rhin), nº 14, mai-juin-juillet 2018, pp. 4-5.
Article archivé au format PDF (1.84 Mo, 3 p.).
- Hou (Wenliang), Munnell (Alicia H.), Sanzenbacher (Geoffrey T.), « How Does Divorce Affect Retirement Security? », Issue In Brief (Center for Retirement Research at Boston College), nº 18-12, juin 2018.
Environ 40 % des mariages finissent par un divorce aux États-Unis – un taux désormais stable. Les auteurs de cet article ont étudié les effets à long terme de cette situation et montrent que le divorce augmente les risques d’avoir un niveau de vie relativement plus faible une fois à la retraite, notamment en raison d’une moindre capacité d’épargne après le divorce. Ils ont utilisé pour ce faire le National Retirement Risk Index, un indicateur présentant le pourcentage de ménages dits « à risque », dont le taux de remplacement projeté est inférieur d’au moins 10 % au taux de remplacement permettant de conserver le même niveau de vie qu’à l’âge actif.
Le divorce entraîne en effet des charges à court terme – les frais de justice, par exemple – mais aussi une baisse des ressources des époux – les coûts de transaction suite à la vente de leur patrimoine immobilier, par exemple. D’après l’étude, 53 % des ménages qui ont subi un divorce sont « à risque » quant à la retraite, contre 48 % des ménages qui n’ont pas divorcé. Les résultats varient toutefois selon la composition du ménage : les couples dont l’un des conjoints a déjà été divorcé ainsi que les hommes divorcés restant seuls sont clairement désavantagés : le versement d’une pension alimentaire ajouté aux dépenses pour la nouvelle famille pèse évidemment sur la capacité d’épargne des hommes remariés. A contrario, les femmes divorcées restant seules ont un risque équivalent à celui des femmes non divorcées.
L’étude montre également que le divorce entraîne une augmentation des dépenses courantes du ménage, notamment pour les femmes – qui gardent le plus souvent les enfants. Cette augmentation serait cependant compensée par une plus grande proportion de femmes propriétaires de leur logement à la suite du divorce (l’hypothèque du logement est prise en compte dans le calcul du National Retirement Risk Index).
Article archivé au format PDF (195 Ko, 11 p.).
- La Rochebrochard (Élise, de), « 1 enfant sur 30 conçu par assistance médicale à la procréation en France », Population & Sociétés, nº 556, juin 2018.
L’assistance médicale à la procréation s’est beaucoup développée depuis la naissance du premier « bébé-éprouvette » au monde il y a quarante ans. L’auteur en fait un bilan pour la France : nombre d’enfants conçus par assistance médicale à la procréation naissant en France chaque année, méthodes utilisées et proportion d’enfants issus d’un don de gamètes, estimation du nombre total de naissances en France dues à l’assistance médicale à la procréation depuis ses débuts.
Document archivé au format PDF (440 Ko, 4 p.).
- von Boch-Galhau (Wilfrid), « Parental Alienation (Syndrome)-A serious form of psychological child abuse », Mental Health and Family Medicine, Vol. 14, nº 2, juin 2018, pp. 725-739.
Article archivé au format PDF (488 Ko, 15 p.).