- « Après une séparation, l’homme garde plus souvent le logement conjugal », Le Monde, nº 22554, 19 juillet 2017, p. 8.
Voir le commentaire de notre collaborateur Philippe Guidal.
Article archivé au format PDF (666 Ko, 2 p.).
- « Maroc : un projet de loi pour encadrer la PMA présenté à la Chambre des représentants », Gènéthique, 18 juillet 2017.
Article archivé au format PDF (110 Ko, 2 p.).
- « Pologne : l’état de droit en danger », Le Monde, nº 22554, 19 juillet 2017, p. 27.
Article archivé au format PDF (722 Ko, 2 p.).
- Bouanchaud (Cécile), « La baisse du budget consacré aux droits des femmes inquiète les associations », Le Monde, nº 22554, 19 juillet 2017, p. 8.
Article archivé au format PDF (666 Ko, 2 p.).
- Makhijani (Pooja), « At the cellular level, a child’s loss of a father is associated with increased stress », Princeton University, 18 juillet 2017.
Présentation de l’article ci-dessous.
Article archivé au format PDF (98 Ko, 3 p.).
- Mitchell (Colter), et alii, « Father Loss and Child Telomere Length », Pediatrics, Vol. 140, nº 2, 1er août 2017 (en ligne le 18 juillet 2017), article e20163245.
On sait que la perte du père pendant l’enfance a des conséquences négatives sur le comportement et la santé, mais les conséquences biologiques étaient encore inconnues. Une équipe de chercheurs américains a examiné comment la perte du père (divorce, incarcération, mort ou séparation) agit sur la fonction cellulaire en étudiant la longueur des télomères, dont on sait notamment qu’ils raccourcissent avec le stress. Les chercheurs ont utilisé des données provenant du suivi sur neuf ans de 2 420 enfants effectué dans le cadre de la Fragile Families and Child Wellbeing Study, menée dans vingt grandes villes américaines. Les principales mesures ont porté sur la longueur des télomères salivaires, les déclarations de la mère sur la perte du père et les polymorphismes dans les gènes liés aux signaux dopaminergiques et sérotoninergiques.
Les enfants de neuf ans ayant perdu leur père ont des télomères significativement plus courts (réduction de 14 %). La mort paternelle a le plus grand effet (16 %), suivie de l’incarcération (10 %) et du divorce ou de la séparation (6 %). L’altération des revenus intervient en partie dans ces associations (95 % de médiation pour le divorce ou la séparation, 30 % pour l’incarcération et 25 % pour le décès). Les effets sont 40 % plus importants pour les garçons et 90 % plus importants pour les enfants avec les allèles des gènes transporteurs de la sérotonine les plus réactifs. Aucune différence n’a été constatée en fonction de l’âge au moment de la perte du père ou de l’origine ethnique de l’enfant. Ces résultats démontrent donc une fois de plus le rôle important des pères dans le développement des enfants ainsi que les effets négatifs importants de l’incarcération des parents.
Article archivé au format PDF (857 Ko, 12 p.).
- Peiron (Denis), « De nombreuses écoles repassent à la semaine de quatre jours », La Croix, 18 juillet 2017.
Article archivé au format PDF (61 Ko, 3 p.).