- « L’Angola réforme sa loi relative à l’avortement », Gènéthique, 27 février 2017.
Article archivé au format PDF (134 Ko, 1 p.).
- « Guatemala : le “navire pour l’avortement” a été expulsé », Gènéthique, 27 février 2017.
Article archivé au format PDF (106 Ko, 1 p.).
- « Normandie : elle maltraite sa fille handicapée et son fils », La Manche libre, 27 février 2017.
Article archivé au format PDF (133 Ko, 1 p.).
- Collectif, Guide de bonnes pratiques de soutien à la parentalité, Paris, Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale, 27 février 2017.
La Fédération des acteurs de la solidarité constate depuis plusieurs années que l’aide aux familles prend une importance de plus en plus grande dans l’accueil et l’accompagnement social proposé par les structures de son réseau – il y aurait ainsi 14 000 enfants dans les structures d’hébergement adhérentes à la Fédération. À cela s’ajoute l’idée que le soutien à la parentalité est un réel vecteur d’insertion sociale et joue un rôle essentiel de prévention des difficultés sociales et des ruptures familiales pour les personnes accueillies.
Partant de ces constats et d’une volonté de mettre en lumière les pratiques sur cette question, ce Guide de bonnes pratiques de soutien à la parentalité a été élaboré, sur la base d’un travail collectif de trois ans mené par le groupe d’appui national Enfance/Famille accompagné par un consultant et soutenu par la Caisse nationale des allocations familiales. Ce document vise à développer les pratiques de soutien à la parentalité à travers deux axes :
- le soutien à la place du père, acteur trop souvent écarté des réflexions sur la parentalité ;
- l’accompagnement des enfants, qui fait l’objet d’une réflexion nouvelle.
Les dix expériences de bonnes pratiques présentées dans ce guide constituent une sélection au sein du réseau, l’idée étant de mettre en œuvre une méthodologie qui parte du terrain avec un aller-retour dans l’élaboration des outils. C’est la première fois dans le réseau qu’est réalisé un écrit pédagogique sur les pratiques professionnelles de ce champ.
Ce guide est structuré en trois parties. La première présente le contexte et la terminologie ; la seconde fait le point sur les notions de « parentalité » et de « soutien à la parentalité » ; la troisième présente une série de bonnes pratiques :
- les bonnes pratiques concernant le projet d’établissement
- les bonnes pratiques concernant la conduite du projet individualisé
- les bonnes pratiques concernant des accompagnements spécifiques
- les bonnes pratiques de gestion des conflits
- les bonnes pratiques de communication au sein de l’équipe.
Document archivé au format PDF (2.16 Mo, 107 p.).
- Malzac (Marie), « Un lycée catholique retire un manuel controversé sur l’homosexualité », Urbi & Orbi, 27 février 2017.
Article archivé au format PDF (121 Ko, 2 p.).
- Pénicaud (Émilie), Renaud (Thomas), Rioux (Laurence), « La situation financière se transmet partiellement de génération en génération », Insee Première, nº 1636, 27 février 2017.
En 2011, 54 % des personnes âgées de vingt-cinq à soixante-six ans estiment que leur situation financière est meilleure, voire bien meilleure, que celle de leur famille quand elles-mêmes étaient adolescentes. Ce jugement favorable est en recul de six points par rapport à 2005, avant la crise de 2008. Il est plus répandu parmi les générations anciennes. Il concerne ainsi 67 % des personnes âgées de soixante ans (nées en 1951), contre seulement 41 % de celles âgées de trente ans (nées en 1981).
D’autres facteurs que l’âge ou la génération augmentent les chances de ressentir une amélioration de sa situation financière par rapport à l’adolescence : avoir grandi au sein d’une famille rencontrant d’importantes difficultés financières, être aujourd’hui en couple sans enfant, être en emploi ou avoir un niveau de vie élevé.
La plupart des caractéristiques parentales jouent un rôle dans la formation du niveau de vie de leurs enfants. En particulier, la situation financière des parents se transmet partiellement à leurs enfants : 59 % des personnes dont les parents joignaient très difficilement les deux bouts ont un niveau de vie inférieur à la médiane, contre 44 % de celles dont les parents ne rencontraient aucune difficulté pour payer les dépenses nécessaires.
Cette transmission s’effectue principalement via le niveau d’éducation atteint par les enfants : le niveau de vie de ces derniers dépend en grande partie de leur niveau de diplôme, qui est lui-même fortement lié à celui de leurs parents. Ainsi, à niveau de diplôme atteint donné, la situation financière de la famille à l’adolescence n’a plus d’effet significatif sur le niveau de vie actuel. Par contre, elle a un effet résiduel sur la perception par l’individu de sa situation financière actuelle, cette perception faisant aussi intervenir des facteurs psychologiques.
Article archivé au format PDF (731 Ko, 4 p.).
- Senèze (Nicolas), « Les curés à l’école d’Amoris lætitia », Urbi & Orbi, 27 février 2017.
Article archivé au format PDF (163 Ko, 2 p.).