- « Avis relatif à un appel de candidatures en vue de pourvoir une chaire vacante au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) », Journal officiel de la République française, nº 238, 12 octobre 2016, texte nº 78.
Document archivé au format PDF (145 Ko, 2 p.).
- « Deux hauts magistrats reçus à l’Élysée après des propos polémiques de Hollande », Europe 1, 12 octobre 2016.
Article archivé au format PDF (210 Ko, 2 p.).
- « Propos polémiques de Hollande : les deux plus hauts magistrats de France reçus à l’Élysée », Le Point, 12 octobre 2016.
Article archivé au format PDF (32 Ko, 1 p.).
- Henry (Laurence), « La NaProTechnology, une médecine de la fertilité comme alternative à la PMA », Gènéthique, 12 octobre 2016.
Article archivé au format PDF (143 Ko, 3 p.).
- Stanley (Scott M.), et alii, « Asymmetrically committed relationships », Journal of Social and Personal Relationships, Vol. 34, nº 8, 1er décembre 2017 (en ligne le 12 octobre 2016), pp. 1241-1259.
Cette étude a comparé les couples dans lesquels il y avait une différence substantielle dans les niveaux d’engagement des deux partenaires à ceux avec des niveaux d’engagement plus égaux. Ces « relations asymétriquement engagées » ont été étudiées dans un échantillon de 315 couples hétérosexuels non mariés. 204 d’entre eux (64,8 %) avaient des niveaux d’engagement à peu près égaux ; l’homme était moins engagé que la femme dans 72 couples (22,8% ), et la femme était moins engagée que l’homme dans 39 couples (12,4 %). Les relations asymétriquement engagées ont été davantage observées dans les couples cohabitant ou ayant des enfants. Comparés aux membres des couples ayant des niveaux d’engagement à peu près égaux, les partenaires les moins engagés dans les relations asymétriquement engagées (les « maillons faibles ») ont reconnu un ajustement relationnel plus faible, ainsi que davantage d’agressivité et de conflits dans leurs relations – ces tendances s’expliquent par leur faible niveau d’engagement. Les partenaires les plus engagés dans les relations asymétriquement engagées (les « maillons forts ») ont cependant également reconnu un ajustement relationnel plus faible, ainsi que davantage d’agressivité et de conflits dans leurs relations, alors même que leurs niveaux d’engagement étaient en moyenne plus élevés que ceux observés dans les couples ayant des niveaux d’engagement à peu près égaux. Ce constat est intéressant dans la mesure où des niveaux élevés d’engagement inhibent généralement l’agressivité et les conflits. Les relations dans lesquelles la femme est le maillon faible sont plus susceptibles de se rompre dans les deux ans (54 %) que celles avec des liens faibles masculins (29 %) ou des niveaux d’engagement à peu près égaux (34 %). L’engagement asymétrique n’est donc pas un facteur prédictif de rupture aussi important que le niveau d’engagement des femmes. Ces résultats font progresser la compréhension de l’engagement asymétrique dans les relations amoureuses et montrent bien qu’il faut étudier l’engagement de chaque membre d’un couple.
Article archivé au format PDF (197 Ko, 19 p.).