Revue de presse du 27 avril 2022

« 54 years of abortion: 9,900,961 lives lost since 1967 — one unborn baby every 2.5 minutes », Right To Life, 27 avril 2022.

Article archivé au format PDF (178 Ko, 5 p.).

« China concerned about falling birth rate amid decline in marriage registrations », Firstpost, 27 avril 2022.

Article archivé au format PDF (85 Ko, 2 p.).

« In Puerto Rico, lawmakers clash over bill to restrict abortions in first public hearing », NBC News, 27 avril 2022.

Article archivé au format PDF (58 Ko, 2 p.).

Baumer (Leanna), « How Safe Haven Laws Help Make Abortion Unnecessary », The Daily Signal, 27 avril 2022.

Article archivé au format PDF (241 Ko, 3 p.).

Boy-Landry (Vanessa), Durand (Édouard), « Violences sexuelles faites aux enfants : “La société accepte de courir le risque de ne pas protéger les victimes” », Paris Match, 27 avril 2022.

Article archivé au format PDF (1 Mo, 6 p.).

Ghaznavi (Cyrus), et alii, « Salaries, degrees, and babies: Trends in fertility by income and education among Japanese men and women born 1943–1975—Analysis of national surveys », PLoS One, vol. 17, nº 4, 27 avril 2022, article e0266835.

Les taux de fécondité ont diminué au cours de la seconde moitié du XXe siècle au Japon, mais on sait peu de choses sur les tendances quant au nombre d’enfants qu’ont les femmes et les hommes dans les cohortes de naissance et s’il diffère selon l’éducation et le revenu.

Les auteurs de cette étude ont utilisé les données de quatre cycles du National Fertility Survey (1992, 2005, 2010 et 2015) et ont inclus des femmes et des hommes âgés de quarante à quarante-neuf ans (17 628 femmes et 16 728 hommes). Ils ont évalué la répartition du nombre d’enfants et la fécondité totale (le nombre moyen d’enfants) à la descendance finale (40-44 ou 45-49 ans selon la cohorte de naissance) par cohortes de naissance de cinq ans. Ils ont évalué les tendances de ces résultats en matière de fécondité chez les femmes et les hommes séparément, par niveau d’éducation (formation universitaire ou non) pour les femmes et les hommes, et par revenu annuel déclaré pour les hommes (moins de 3 000 000 yens, 3 000 000 à 6 000 000 yens, plus de 6 000 000 yens).

En comparant les personnes nées entre 1943 et 1948 avec celles nées entre 1971 et 1975, la proportion sans enfants est passée de 11,6 à 27,6 % pour les femmes et de 14,3 à 39,9 % pour les hommes. Cette augmentation a coïncidé avec une diminution de la proportion de personnes ayant deux enfants ou plus. La fécondité totale est passée de 1,96 à 1,42 chez les femmes et de 1,92 à 1,17 chez les hommes. Parmi les femmes nées entre 1956 et 1970, celles qui détenaient un diplôme universitaire étaient moins susceptibles d’avoir des enfants que celles qui n’en possédaient pas, cette différence n’étant plus observée parmi celles nées entre 1971 et 1975. Les hommes détenant un diplôme universitaire étaient plus susceptibles d’avoir des enfants que ceux sans diplôme universitaire dans toutes les cohortes de naissance, sauf celle de 1943 à 1947. Les hommes ayant des revenus plus élevés étaient plus susceptibles d’avoir des enfants dans toutes les cohortes de naissance. Même si la proportion d’hommes ayant des enfants a diminué dans tous les groupes de revenus, cette diminution a été plus prononcée parmi ceux appartenant au groupe de revenus le plus faible. Tant chez les femmes que chez les hommes, les tendances en matière de fécondité au sein des cohortes de naissance ne différaient pas selon le niveau d’instruction.

La baisse de l’indice synthétique de fécondité au Japon peut donc être attribuée à la fois à une proportion croissante de la population sans enfants et à une diminution du nombre d’enfants dans les familles. Les hommes ayant un bas niveau d’éducation et de revenus sont moins susceptibles d’avoir des enfants et la disparité du nombre d’enfants qu’ont les hommes en fonction du revenu s’est accrue dans les cohortes de naissance plus récentes. Chez les femmes, un niveau d’instruction plus élevé est associé à une fécondité plus faible, même si cette tendance n’est plus observée chez celles nées entre 1971 et 1975.

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Goetelen (John), « Les Échappées : la complainte des femmes à vélo », Les hommes libres, 27 avril 2022.

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Hamrick (Kristi), « Tik Tok Bans Students for Life, Censors Pro-Life Free Speech », LifeNews.com, 27 avril 2022.

Article archivé au format PDF (150 Ko, 2 p.).

Kessler (Guillaume), « Extension du modèle du consensus dans le canton du Valais », CIRPA-France, 27 avril 2022.

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Lambert (Anne), Langlois (Laetitia), « Horaires atypiques de travail : les femmes peu qualifiées de plus en plus exposées », Population & Sociétés, nº 599, 27 avril 2022.

Les horaires atypiques de travail – tôt le matin, le soir, la nuit, le samedi et/ou le dimanche – ont progressé ces dernières décennies suite aux lois étendant le recours dérogatoire au travail dominical et favorisant la modulation du temps de travail. L’exposition à ces horaires s’est davantage recomposée au cours de la dernière décennie qu’elle ne s’est diffusée à l’ensemble des salariés. Ce sont les femmes peu qualifiées qui ont le plus pâti de la montée des horaires atypiques, en particulier du travail habituel le samedi et le dimanche. Les cadres ont à l’inverse connu une relative normalisation de leurs horaires de travail, avec un recul des horaires atypiques ainsi que des horaires imprévisibles et variables.

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Communiqué archivé au format PDF (276 Ko, 2 p.).