- Gendre (Delphine), « Au nom des pères », RTS (La semaine de Delphine Gendre), 27 août 2021.
- Le Roux (Marie-Jeanne), « Au nom des pères », Le Courrier de l’Ouest, 27 août 2021.
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- MacDonald (Sarah), « “Massive” housing crisis contributing to family breakdowns, Archbishop warns », Independent, 27 août 2021.
Article archivé au format PDF (141 Ko, 2 p.).
- Maillard (Jean-Baptiste), Planchon (Ronan), « La limitation drastique de l’école à la maison est un coup porté aux libertés », Le Figaro, 27 août 2021.
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- Niel (Xavier), « La part des femmes parmi les élus locaux augmente, celle des jeunes diminue », Bulletin d’information statistique (Direction générale des collectivités locales), nº 157, 27 août 2021.
Cette étude de la direction générale des collectivités locales dévoile le profil des nouveaux élus locaux à la suite des dernières élections départementales et régionales. Elle constate deux évolutions : une hausse de la part de femmes, et une régression de celle des jeunes par rapport à 2015.
Un des points de la loi nº 2019-1461 du 27 décembre 2019 relative à l’engagement dans la vie locale et à la proximité de l’action publique était notamment de renforcer la parité au sein des exécutifs locaux. La part des femmes augmente parmi l’ensemble des élus locaux et atteint désormais presque 42,4 % parmi les élus municipaux, soit une progression de quasiment dix points par rapport à 2001 (33 %). Cette proportion a légèrement progressé dans les conseils communautaires, passant de 31,4 % en 2014 à 35 % en 2021.
Les dispositions relatives à la parité adoptées au cours des dernières années imposent une stricte alternance des candidats de chaque sexe sur les listes. Cette obligation en vigueur depuis 2014 a porté ses fruits parmi les conseillers départementaux : la part des femmes est passée de 13,8 % en 2011 à 50 % en 2015 et 2021. Une progression similaire est observée dans les effectifs des conseils régionaux, où la part des femmes s’élève désormais à 48,6 %.
Si la part des femmes parmi les élus locaux augmente en général, elle reste cependant plus disparate et plus faible parmi les présidents d’exécutifs :
- 19,8 % des maires,
- 11,4 % des présidents de conseils communautaires,
- 20,2 % des présidents de conseils départementaux,
- 31,6 % des présidents de régions.
Selon l’étude, la population française adulte au 1er janvier dernier était équitablement répartie en trois tiers entre les personnes de dix-huit à quarante ans, de quarante à soixante ans et de soixante ans ou plus. Or, la part d’élus de moins de quarante ans reste très inférieure à ce tiers par rapport à la population de dix-huit ans et plus : elle varie de 7 % pour les conseillers communautaires à 18 % pour les conseillers municipaux ou régionaux. Les jeunes sont encore moins présents parmi les présidents d’organes délibérants : seuls 3,9 % des maires ont moins de quarante ans et aucun président de conseil régional n’a moins de quarante ans.
Quant au profil socio-professionnel des élus locaux, l’étude fait ressortir que la part des agriculteurs et des cadres est proportionnellement plus élevée que dans la population, tandis que les employés et les ouvriers sont très sous-représentés, sauf au sein des conseils municipaux. En raison de nombreuses communes rurales, les agriculteurs restent ainsi fortement représentés avec 7,5 % des conseillers communautaires et 8 % des conseillers municipaux.
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- Prazel (Constance), « Pas de liberté dans les cartables », Liberté politique, 27 août 2021.
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- Roca (Stella), « École à la maison : ce que la nouvelle loi change », Parents, 27 août 2021.
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