Revue de presse du 7 mars 2019

« Pourquoi faut-il un père ? Introduction », Association pour la formation chrétienne de la personne – Institut Karol Wojtyla, 7 mars 2019.

« Reform of the family law system: Guardianship rights for all fathers », Irish Examiner, 7 mars 2019.

Article archivé au format PDF (52 Ko, 2 p.).

« Les rencontres de la GLFF », Hiram.be, 7 mars 2019.

Article archivé au format PDF (86 Ko, 2 p.).

Baëhr (Audrey), Caron (Géraldine), « Les femmes et la vie politique locale. Un peu moins présentes dans les Hauts-de-France », Insee Analyses Hauts-de-France, nº 92, 7 mars 2019.

38,5 % des conseillers municipaux sont des femmes dans les Hauts-de-France. Cette part est plus élevée au niveau national (40 %). Face à la loi, toutes les collectivités ne sont en fait pas soumises à l’obligation de compter autant de femmes que d’hommes parmi leurs élus. La parité est ainsi quasi atteinte au sein des conseils départementaux et régionaux, ainsi que dans les communes de plus de mille habitants. En revanche, moins d’un tiers des conseillers sont des femmes dans les communes de moins de mille habitants et les intercommunalités. L’accès aux postes à responsabilité reste parallèlement limité : à peine 15 % des maires et 6 % des présidents des groupements de communes sont des femmes. Enfin, les femmes élues sont en général plus jeunes que leurs homologues masculins.

Article archivé au format PDF (2.01 Mo, 4 p.).

Béguin (François), « À l’hôpital, les carrières des femmes sont semées d’obstacles », Le Monde, nº 23065, 8 mars 2019, p. 10.

Article archivé au format PDF (1.39 Mo, 2 p.).

Bonzi (Axelle), Martal (Élodie), « La parité encore loin d’être atteinte dans les conseils municipaux », Insee Flash Occitanie, nº 86, 7 mars 2019.

39 % des conseillers municipaux sont des femmes en Occitanie, mais cette part s’établit à 35 % dans les communes de moins de mille habitants, où aucune législation n’oblige à la parité. Les femmes restent éloignées des plus hautes responsabilités politiques : seuls 16 % des maires d’Occitanie sont des femmes, le plus souvent dans des petites communes, et le taux de féminisation augmente au fur et à mesure que les responsabilités diminuent.

Article archivé au format PDF (306 Ko, 2 p.).

Brendler (Jonathan), Hurard (Camille), « Les Normandes plus exposées que les Normands à la pauvreté du fait de leur situation familiale », Insee Analyses Normandie, nº 57, 7 mars 2019.

Les femmes vivent moins souvent en couple que les hommes en Normandie, ce qui peut les rendre plus vulnérables à la pauvreté. Les inégalités de revenu et de pauvreté monétaire entre femmes et hommes sont en effet notamment exacerbées par les situations de monoparentalité, plus souvent vécues par les femmes. Certaines formes de transferts – pensions alimentaires ou prestations sociales – permettent de réduire ces inégalités. La pauvreté monétaire demeure néanmoins très répandue au sein de cette population. Au-delà de cette situation de pauvreté monétaire, sous l’angle plus large des conditions de vie, les femmes apparaissent en Normandie moins favorisées que les hommes dans la plupart des territoires. Les femmes semblent cependant disposer en moyenne de conditions plus avantageuses que les hommes dans certains contextes : personnes seules de moins de soixante ans et couples avec enfants.

Article archivé au format PDF (1.79 Mo, 4 p.).

Brion (David), Tribout (Xavier), « La parité progresse dans les conseils municipaux de Bourgogne-Franche-Comté », Insee Flash Bourgogne-Franche-Comté, nº 78, 7 mars 2019.

36 % des élus des conseils municipaux étaient des femmes en Bourgogne-Franche-Comté en 2018. Cette part a progressé depuis les élections de 2008, notamment sous l’impulsion des lois en faveur de l’égalité hommes-femmes en politique. La parité est presque atteinte dans les conseils des communes de mille habitants et plus, où la loi l’impose sur les listes. Ce n’est pas le cas pour les autres communes, où 33 % de femmes siègent dans les conseils municipaux. Les élues sont plus jeunes que leurs homologues masculins. Il y a relativement peu de femmes à la tête des municipalités, moins d’un maire sur cinq, en particulier dans les grandes communes.

Article archivé au format PDF (962 Ko, 2 p.).

Chaillot (Pierre), Legendre (Delphine), « Temps partiel : la garde des enfants est le premier motif des femmes », Insee Analyses Pays de la Loire, nº 71, 7 mars 2019.

Les femmes sont plus souvent à temps partiel dans les Pays de la Loire qu’ailleurs en France de province. Cette part doit être mise au regard du plus fort taux d’activité féminin : les femmes sont plus souvent sans activité dans les autres régions. Le recours au temps partiel est en premier lieu lié à la présence d’enfants dans une famille. Avoir plus d’enfants augmente le taux de recours au temps partiel pour les femmes. Le temps partiel est également fortement présent en début et fin de vie active chez les femmes comme chez les hommes. Le métier ne permet pas toujours d’exercer son emploi à temps plein. Le commerce, la restauration et les services aux particuliers sont les principaux secteurs ayant recours à des emplois à temps partiel.

Article archivé au format PDF (969 Ko, 4 p.).

Charpentier (Michèle), Fabre (Virginie), « L’entrepreneuriat au féminin rime avec jeunesse, qualification et services », Insee Flash Nouvelle-Aquitaine, nº 46, 7 mars 2019.

Trois entreprises (hors auto-entreprises) créées sur dix le sont par des femmes en Nouvelle-Aquitaine. L’objectif des créatrices est surtout d’assurer leur propre emploi. Elles s’orientent majoritairement vers le tertiaire, en lien avec leur expérience passée. Elles sont globalement plus diplômées et plus jeunes que leurs homologues masculins. Elles investissent souvent moins que les hommes au démarrage, mais recourent autant à l’emprunt.

Article archivé au format PDF (373 Ko, 2 p.).

Cordier (Solène), « Le quotidien difficile des familles monoparentales », Le Monde, nº 23065, 8 mars 2019, p. 10.

Article archivé au format PDF (1.39 Mo, 2 p.).

Cros (Lucile), Neveu (Ludivine), « En Bretagne, les femmes à la tête d’une famille monoparentale sont plus souvent en situation de pauvreté que celles vivant seules », Insee Flash Bretagne, nº 50, 7 mars 2019.

Lorsqu’elles sont seules à la tête d’un ménage, les femmes sont davantage touchées par la pauvreté que les hommes dans la même situation. Ce constat s’observe aussi bien en Bretagne que dans les autres régions françaises. Les femmes sont moins fréquemment en situation de chômage mais leurs conditions d’emploi sont caractérisées par des proportions plus élevées de contrats à durée déterminée et de temps partiels. Les conditions de vie des femmes à la tête d’une famille dite monoparentale apparaissent plus souvent fragilisées que celles des pères seuls avec leurs enfants. Les femmes vivant seules, majoritairement âgées de soixante ans ou plus, se trouvent en revanche moins fréquemment en situation de pauvreté.

Article archivé au format PDF (642 Ko, 2 p.).

Demougeot (Lise), « Regards sur les inégalités femmes-hommes : la parité en politique s’améliore », Insee Flash Martinique, nº 116, 7 mars 2019.

La représentativité des femmes parmi les élus s’améliore en Martinique, même si les progrès sont surtout visibles là où la parité est imposée par la loi. Les assemblées locales comptent désormais presque autant de femmes que d’hommes. Encore peu de Martiniquaises accèdent cependant aux postes à responsabilité. Les conseils municipaux se sont par ailleurs rajeunis en se féminisant.

Article archivé au format PDF (347 Ko, 2 p.).

Durieux (Stéphanie), Zampini (Carole), « Inégalités sociales femmes-hommes. Dans les Alpes-de-Haute-Provence, les écarts de revenu salarial sont proches de la moyenne régionale », Insee Flash Provence-Alpes-Côte d’Azur, nº 50, 7 mars 2019.

Les inégalités de revenu salarial entre les femmes et les hommes dans les Alpes-de-Haute-Provence se situent dans la moyenne de Provence-Alpes-Côte d’Azur. Elles proviennent pour l’essentiel des inégalités de salaire à temps de travail équivalent sur l’année. Les situations de pauvreté sont aussi fréquentes qu’en moyenne régionale et affectent particulièrement les mères seules avec enfant.

Article archivé au format PDF (2.12 Mo, 2 p.).

Durieux (Stéphanie), Zampini (Carole), « Inégalités sociales femmes-hommes. Dans les Alpes-Maritimes, de fortes inégalités dans les fonctions d’encadrement », Insee Flash Provence-Alpes-Côte d’Azur, nº 52, 7 mars 2019.

Les inégalités de revenu salarial entre les femmes et les hommes des Alpes-Maritimes se situent dans la moyenne régionale. Les femmes sont cependant nettement moins souvent cadres que les hommes et accèdent plus rarement qu’eux à des rémunérations élevées, malgré un haut niveau de diplôme. Du fait d’une forte participation au marché de l’emploi et des hauts niveaux de revenu salarial des femmes comme des hommes, les situations de pauvreté sont limitées dans le département. Les mères seules sont notamment moins souvent confrontées à la précarité financière que dans tous les autres départements de la région.

Article archivé au format PDF (2.06 Mo, 2 p.).

Durieux (Stéphanie), Zampini (Carole), « Inégalités sociales femmes-hommes. Dans le Var, le revenu salarial des femmes est inférieur d’un quart à celui des hommes », Insee Flash Provence-Alpes-Côte d’Azur, nº 54, 7 mars 2019.

Le revenu salarial des femmes est inférieur d’un quart à celui des hommes dans le Var, comme au niveau régional. Les disparités entre les femmes et les hommes proviennent pour l’essentiel des inégalités de salaire à temps de travail équivalent sur l’année. Pour les femmes et les hommes, les revenus salariaux sont en moyenne un peu inférieurs au niveau régional.
Les situations de pauvreté affectent particulièrement les femmes seules avec enfant.

Article archivé au format PDF (2.15 Mo, 2 p.).

Durieux (Stéphanie), Zampini (Carole), « Inégalités sociales femmes-hommes. Des inégalités salariales femmes-hommes moins marquées dans les Hautes-Alpes », Insee Flash Provence-Alpes-Côte d’Azur, nº 51, 7 mars 2019.

Les inégalités de revenu salarial entre les femmes et les hommes sont moins marquées dans les Hautes-Alpes que dans le reste de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Ces écarts modérés sont la conséquence d’un niveau globalement faible des salaires lié à la qualification des emplois.
Les femmes – notamment les mères seules – sont moins souvent confrontées à la pauvreté qu’en moyenne régionale du fait d’une forte participation au marché du travail.

Article archivé au format PDF (2.06 Mo, 2 p.).

Durieux (Stéphanie), Zampini (Carole), « Inégalités sociales femmes-hommes. En Vaucluse, les mères sont très exposées à la pauvreté », Insee Flash Provence-Alpes-Côte d’Azur, nº 55, 7 mars 2019.

Le revenu salarial perçu par les femmes est inférieur d’un quart à celui des hommes en Vaucluse, comme au niveau régional. Les femmes occupent par ailleurs moins souvent un emploi que les hommes et les inégalités d’accès à l’emploi sont plus marquées que dans les autres départements de la région. Le chômage conduit à des situations de pauvreté plus fréquentes en Vaucluse. En particulier, la moitié des mères habitant seules avec leurs enfants vit sous le seuil de pauvreté. Les mères en couple sont également davantage confrontées à la pauvreté qu’ailleurs.

Article archivé au format PDF (1.92 Mo, 2 p.).

Durieux (Stéphanie), Zampini (Carole), « Inégalités sociales femmes-hommes. La moitié des mères isolées en situation de pauvreté dans les Bouches-du-Rhône », Insee Flash Provence-Alpes-Côte d’Azur, nº 53, 7 mars 2019.

Les inégalités salariales entre les femmes et les hommes sont prégnantes dans les Bouches-du-Rhône. Les femmes accèdent notamment plus rarement que les hommes à des rémunérations élevées. Les situations de pauvreté – qui sont relativement fréquentes dans ce département – concernent particulièrement les femmes, plus souvent en retrait du marché du travail que les hommes. Notamment, la moitié des mères isolées vivent sous le seuil de pauvreté.

Article archivé au format PDF (2.03 Mo, 2 p.).

Ferrante (Aline), Tillatte (Alexandre), « Les inégalités de niveau de vie entre les femmes et les hommes amplifiées par la monoparentalité », Insee Flash Auvergne-Rhône-Alpes, nº 55, 7 mars 2019.

12,8 % de la population vit sous le seuil de pauvreté en Auvergne-Rhône-Alpes. Les familles dites monoparentales sont les plus exposées, notamment lorsque le parent est une femme. Ces mères occupent moins souvent un emploi et sont davantage bénéficiaires des prestations sociales. Les femmes ont en général un salaire inférieur à celui des hommes. Cette situation pèse sur leurs revenus au moment de la retraite : les femmes perçoivent en moyenne une pension de retraite bien inférieure à celle des hommes.

Article archivé au format PDF (2.45 Mo, 2 p.).

Fraboul (Serge), « Les femmes représentent la moitié des actifs mais seulement trois créateurs d’entreprises sur dix », Insee Flash Pays de la Loire, nº 91, 7 mars 2019.

Trois entreprises classiques sur dix ont été créées par des femmes dans les Pays de la Loire en 2014 alors qu’elles représentent la moitié des actifs occupés. Les femmes créent leur entreprise pour assurer leur emploi plus souvent que les hommes, elles disposent d’un budget plus faible et rencontrent plus de difficultés au démarrage. Le déficit est dû en partie à une répartition sectorielle des créations défavorable. Les créations sont globalement deux fois plus nombreuses dans la construction, secteur peu féminisé, que dans la santé, fortement féminisé. Toutefois, un retard important existe également dans des secteurs relativement féminisés comme le commerce, la restauration ou les services aux entreprises.

Article archivé au format PDF (161 Ko, 2 p.).

Garcia-Peñalosa (Cecilia), « Les mesures en faveur des femmes peuvent se retourner contre elles », Le Monde, nº 23065, 8 mars 2019, p. 24.

Article archivé au format PDF (1.40 Mo, 2 p.).

Golgowski (Nina), « Tennessee House Advances Fetal Heartbeat Bill To Ban Most Early Abortions », HuffPost, 7 mars 2019.

Article archivé au format PDF (44 Ko, 2 p.).

Goupil (Sophie), « Encore peu nombreuses à la tête des communes,les femmes sont bien présentes dans les conseils municipaux », Insee Flash Centre-Val de Loire, nº 32, 7 mars 2019.

Les femmes s’investissent particulièrement dans la vie politique locale en Centre-Val de Loire, et plus fréquemment qu’en moyenne nationale dans toutes les fonctions (maires, adjoints et autres conseillers). Leur part atteint 37 % dans les conseils des communes de moins de mille habitants, où la parité n’est pas imposée par la loi. Les postes clés de la vie démocratique restent néanmoins masculins, puisque seulement 350 maires sont des femmes. La féminisation des élus est plus marquée dans la jeune génération, la parité se profilant chez les moins de quarante ans.

Article archivé au format PDF (1.24 Mo, 2 p.).

Grangeat (Chantal et Michel), « CIRA/ICSP : des activités dans les pays européens », Résidence Alternée, 7 mars 2019.

Article archivé au format PDF (187 Ko, 3 p.).

Guibert (Nathalie), « La trop lente féminisation de l’armée française », Le Monde, nº 23065, 8 mars 2019, p. 27.

Article archivé au format PDF (1.44 Mo, 2 p.).

Jabot (Danielle), « Femme et Maire : une situation plus fréquente en Île-de-France », Insee Flash Île-de-France, nº 40, 7 mars 2019.

Sous l’effet des lois en faveur de la parité, les conseils municipaux comptent presque autant de femmes que d’hommes, mais peu de femmes accèdent à la fonction de maire : seul un maire sur cinq est une femme en Île-de-France, région métropolitaine où les femmes sont les plus présentes, aussi bien parmi les maires que dans les conseils municipaux. Avec cinquante-quatre ans en moyenne, les élues municipales sont plus jeunes que leurs homologues masculins.

Article archivé au format PDF (99 Ko, 2 p.).

Kane (Coumba), Crenshaw (Kimberlé), « La lutte contre le racisme doit inclure le combat contre le sexisme », Le Monde, nº 23065, 8 mars 2019, p. 25.

Article archivé au format PDF (1.60 Mo, 2 p.).

Kempf (Nicolas), « Regards sur les inégalités femmes-hommes : la parité en politique progresse », Insee Flash Guyane, nº 105, 7 mars 2019.

La féminisation des élus guyanais a augmenté sous l’effet des lois en faveur de la parité adoptées ces vingt dernières années, mais il n’en va pas de même pour les postes à responsabilité : encore peu de femmes accèdent aux fonctions de pouvoir. Les assemblées locales se sont rajeunies et renouvelées en se féminisant.

Article archivé au format PDF (320 Ko, 2 p.).

Marivat (Gladys), « Quel père être », Le Monde des Livres, nº 23065, 8 mars 2019, p. 6.

Article archivé au format PDF (1.50 Mo, 2 p.).

Merceron (Sébastien), Touzet (Claude), « La précarité des femmes à La Réunion. Les mères isolées plus exposées à la pauvreté », Insee Flash La Réunion, nº 151, 7 mars 2019.

À La Réunion plus encore qu’en métropole, les femmes sont davantage concernées par la pauvreté que les hommes. Elles vivent en effet bien plus souvent seules avec leurs enfants (une femme sur cinq), ce qui les expose fortement à la pauvreté. Ainsi, six femmes sur dix élevant seules leurs enfants sont pauvres. Plus elles ont d’enfants, plus leur risque de pauvreté augmente. Ces mères isolées sont moins souvent titulaires d’un diplôme qualifiant et davantage à l’écart de l’emploi. Les femmes de moins de soixante ans vivant seules sont en revanche moins souvent concernées par la pauvreté que les hommes seuls. Les Réunionnaises occupent par ailleurs plus rarement un emploi que les Réunionnais. Cet emploi est souvent plus précaire et moins rémunérateur : le revenu salarial des Réunionnaises était inférieur de 14 % à celui des Réunionnais en 2015.

Article archivé au format PDF (1.20 Mo, 2 p.).

Raimbaud (Baptiste), « Regards sur les inégalités femmes-hommes : la Guadeloupe, un modèle de parité en politique », Insee Flash Guadeloupe, nº 115, 7 mars 2019.

Si les assemblées locales guadeloupéennes comptent presque autant d’hommes que de femmes, des disparités demeurent néanmoins là où la loi n’impose pas l’égalité entre les sexes. Les hommes occupent les trois quarts des postes de maires et les deux tiers des postes de présidents et vice-présidents dans les intercommunalités. Les conseils municipaux se sont par ailleurs rajeunis en se féminisant.

Article archivé au format PDF (340 Ko, 2 p.).

Rescan (Manon), « La PMA, cette autre pomme de discorde dans la majorité », Le Monde, nº 23065, 8 mars 2019, p. 6.

Article archivé au format PDF (1.42 Mo, 2 p.).

Torre (Valérie), « Entrepreneuriat féminin. La Corse dans le top 5 des régions », Insee Flash Corse, nº 41, 7 mars 2019.

6 900 femmes étaient chefs d’entreprise ou exerçaient une profession libérale en Corse fin 2015. Elles demeurent minoritaires dans l’emploi non salarié, avec 36,6 % des effectifs. Ce taux place toutefois l’île parmi les cinq régions les plus féminisées de France métropolitaine. Les indépendantes sont plus souvent professionnelles libérales que les hommes. Elles travaillent surtout au sein des activités de services, en particulier dans l’action sociale, l’enseignement et la santé.

Article archivé au format PDF (662 Ko, 2 p.).