Revue de presse du 20 juillet 2018

Revue de presse

  • « Chiche renonce à sa proposition de loi », La République des Pyrénées, nº 22398, 20 juillet 2018, p. 30.

La République des Pyrénées, nº 22398, 20 juillet 2018, p. 30





  • Bherer (Marc-Olivier), Strauch-Bonart (Laetitia), « Les hommes font l’expérience d’une forme de déclin », Le Monde, nº 22868, 21 juillet 2018, p. 22.

  • Boisseau (Rosita), « Phia Ménard noie le patriarcat dans la boue et les clichés », Le Monde, nº 22868, 21 juillet 2018, p. 14.



Les personnes mariées sont en meilleure santé et vivent plus longtemps que celles qui ne sont jamais mariées, ou qui sont divorcées ou veuves. Mais tous les mariages ne sont pas égaux : les mariages malheureux procurent moins d’avantages que les mariages heureux. Tels sont les résultats de cette étude, qui a examiné la longévité et la santé d’un échantillon représentatif d’adultes américains au niveau national en combinant des mesures du bonheur conjugal et de l’état matrimonial de façon à comparer les personnes « très heureuses » dans le mariage à celles qui étaient « plutôt heureuses » ou « pas trop heureuses », qu’elles soient mariées, jamais mariées, divorcées, séparées ou veuves. Les auteurs ont utilisé le General Social Survey – National Death Index pour mettre en évidence les associations entre l’autoévaluation du risque de mortalité et de santé, le bonheur conjugal, le bonheur général et l’état matrimonial. Comparées aux personnes « très heureusement » mariées, celles qui n’étaient « pas trop heureuses » dans le mariage étaient deux fois plus susceptibles de se dire en mauvaise santé et, pour près de 40 %, plus susceptibles de mourir au cours de la période de suivi, indépendamment des facteurs géographiques, religieux et socio-économiques. Les personnes n’étant « pas trop heureuses » dans le mariage présentaient également un risque de mortalité et de santé égal ou pire que celles qui n’avaient jamais été mariées, ou qui étaient divorcées, séparées ou veuves. Les résultats indiquent en outre que le bonheur général sous-tend une grande partie de la relation entre le bonheur conjugal, une meilleure longévité et une meilleure santé. De précédentes études avaient déjà bien établi les avantages du mariage pour la longévité et la santé, mais ces résultats montrent en outre que les personnes dont le mariage est malheureux peuvent constituer une population vulnérable. Les auteurs en concluent que le bien-être subjectif et la qualité des relations contribuent aux avantages du mariage pour la santé.

Badr Hraichete vs Manuela Morales Perez

  • « Drame rue Richelieu : les obsèques prévues ce vendredi en Espagne », La République des Pyrénées, nº 22398, 20 juillet 2018, p. 4.

La République des Pyrénées, nº 22398, 20 juillet 2018, p. 4

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