- « En Nouvelle Zélande, une consultation est lancée pour élargir la mise à disposition post mortem de gamètes et d’embryons », Gènéthique, 5 juillet 2018.
Article archivé au format PDF (154 Ko, 1 p.).
- « Séparation des parents : impact sur les enfants entrant dans l’âge adulte », Alliance Vita, 5 juillet 2018.
Article archivé au format PDF (312 Ko, 2 p.).
- Besmond de Senneville (Loup), « Bioéthique, le Conseil d’État remet son rapport à Édouard Philippe », La Croix, 5 juillet 2018.
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- Boughriet (Rachida), « Baisse de la fertilité masculine : les perturbateurs endocriniens à nouveau mis en cause », Actu-Environnement, 5 juillet 2018.
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- Cain Miller (Claire), « Americans Are Having Fewer Babies. They Told Us Why », The New York Times, 5 juillet 2018.
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- Dherbécourt (Clément), « Nés sous la même étoile ? Origine sociale et niveau de vie », La Note d’analyse (France Stratégie), nº 68, 5 juillet 2018.
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- Evertsson (Marie), Boye (Katarina), Erman (Jeylan), « Fathers on call? A study on the sharing of care work between parents in Sweden », Demographic Research vol. 39, 5 juillet 2018, article 2, pp. 33-60.
Le recours au congé parental par les pères suédois a augmenté au fil du temps, mais ces progrès ont été modérés. Les auteurs de cette étude se sont demandé quels facteurs entravent ou facilitent la prise de congé par les pères et comment ce congé influence la relation des pères avec leurs enfants.
Ils ont étudié, d’une part, les raisons du partage du congé parental par les parents ainsi que les conséquences de ce partage sur leur temps effectif à la maison avec l’enfant, et, d’autre part, le lien entre le congé du père et sa relation avec l’enfant, ainsi que le partage de la garde des enfants entre les parents après le congé parental. Une approche multiméthodes a été utilisée pour analyser les données du Young Adult Panel Study parallèlement à des entretiens qualitatifs approfondis avec treize couples ayant eu un premier enfant.
Les résultats quantitatifs montrent que la durée du congé des parents varie selon les raisons avancées pour le partage du congé et que le congé parental des pères est lié au partage à long terme de la garde des enfants. Les résultats qualitatifs laissent penser que l’égalité parentale est importante pour les parents interrogés ; les idéaux de la maternité peuvent cependant faire obstacle à sa réalisation. Plusieurs mécanismes par lesquels le congé parental des pères peut influencer la répartition ultérieure de la garde des enfants sont mis en avant, notamment le développement d’une relation plus étroite entre l’enfant et son père.
Les politiques visant à accroître le recours au congé parental par les pères ont donc le potentiel de renforcer le lien entre l’enfant et son père, contribuer à une répartition plus équitable de la garde des enfants et faciliter la compréhension mutuelle des deux parents et de ce qu’être un parent au foyer implique.
Cet article est le premier à montrer comment les raisons invoquées par les parents pour justifier le congé parental sont liées à la durée réelle du congé de la mère et du père. Les résultats indiquent que l’augmentation de la durée du congé paternel est liée à une meilleure qualité des relations de couple et à une relation plus étroite avec l’enfant.
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- Jalovaara (Marika), Kulu (Hill), « Separation Risk over Union Duration: An Immediate Itch? », European Sociological Review, vol. 34, nº 5, octobre 2018 (en ligne le 5 juillet 2018), pp. 486-500.
Cette étude examine le risque de séparation au regard de la durée des unions. Des recherches antérieures ont fait état d’une tendance à la hausse et à la baisse du risque de divorce au regard de la durée du mariage, conformément aux notions psychologiques de « lune de miel » et de « démangeaisons des sept ans », mais on sait peu de choses sur la variation du risque de séparation au regard de la durée de cohabitation ou de la durée du mariage lorsque la durée du partenariat est mesurée à partir du début de la cohabitation. Les auteurs ont inclus des données sur les unions conjugales et non conjugales et proposent une nouvelle façon de traiter la cohabitation et le mariage comme des épisodes d’une même union. Ils ont utilisé des données de l’état-civil finlandais à grande échelle et ont contrôlé les caractéristiques observées et non observées des individus. Leurs résultats montrent que le taux de séparation est le plus élevé au début de l’union en cas de concubinage. L’entrée dans le mariage est suivie d’une baisse significative des niveaux de séparation et d’une tendance modeste à la hausse et à la baisse, qui est indépendante de la durée de la cohabitation avant le mariage. Le mariage implique la permanence, avec un effet de « lune de miel » court et un effet à long terme dont une grande partie reflète probablement l’auto-sélection de cohabitants engagés et satisfaits du mariage.
Article archivé au format PDF (465 Ko, 15 p.).