- « Garçon ou fille ? Dans les faits, la sélection est possible au Royaume-Uni », Gènéthique, 26 juin 2018.
Article archivé au format PDF (119 Ko, 1 p.).
- « Le Gouvernement irlandais veut statuer pour permettre aux couples de même sexe d’enregistrer leurs deux noms sur le certificat de naissance des bébés », Gènéthique, 26 juin 2018.
Article archivé au format PDF (118 Ko, 1 p.).
- Boussad (Nadia), Wolber (Odile), « 2010-2015 : en Île-de-France, les tensions sur le logement freinent la décohabitation », Insee Flash Île-de-France, nº 32, 26 juin 2018.
Le parc de logements a faiblement progressé entre 2010 et 2015, avant le rebond de la construction en Île-de-France : + 4 % contre + 5,5 % au niveau national. Les difficultés d’accès au logement se sont accentuées au cours de cette période, sous l’effet conjugué du faible rythme de construction et de l’essor des logements vacants et résidences secondaires. En raison de ces tensions, la taille moyenne des ménages a cessé de diminuer.
Article archivé au format PDF (116 Ko, 2 p.).
- Dougnac (Vanessa), « Mariages arrangés, une réalité indienne », La Croix, 26 juin 2018.
Article archivé au format PDF (197 Ko, 4 p.).
- Vallès (Vincent), « 374 000 logements supplémentaires chaque année entre 2010 et 2015 », Insee Première, nº 1700, 26 juin 2018.
Le parc de logements a augmenté de 1,1 % par an en France entre 2010 et 2015, soit deux fois plus vite que la population. La progression des résidences principales génère les deux tiers de cette croissance, dont le premier moteur est la croissance démographique – notamment en périphérie des principales villes-centres. La réduction de la taille des ménages s’atténue et n’explique plus que 28 % de l’augmentation du parc, contre 61 % entre 1990 et 1999.
La vacance de logements a beaucoup augmenté depuis 2010 (+ 3,4 % par an), expliquant désormais 23 % du nombre de logements supplémentaires. 2,8 millions de logements sont vacants en France, soit un taux de vacance de 8 % en 2015. La vacance est marquée dans les villes-centres, plus faible en périphérie. Elle est moins prégnante dans les aires urbaines des métropoles régionales, notamment celles où le marché de l’immobilier est tendu.
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