Quid du soutien des pères privés de leurs enfants alors qu’ils n’ont rien fait de mal ?
Qui écoute et soutient ces pères qui souffrent en silence et sont victimes de ce qu’on peut considérer comme de la violence psychologique avec des conséquences terribles qui peuvent aller jusqu’au geste ultime et tragique : le suicide.
Des pères qui doivent dans un premier temps faire le deuil plus ou moins douloureux de leur couple mais surtout doivent survivre a la séparation plus ou moins prolongée voir définitive de leurs enfants !
Quel père aimant peut légitimement survivre à çà sans aide et soutien ? Aucun !
Alors aujourd’hui je lance un cri d’alarme et de désespoir pour que nous soyons entendus et soutenus dans notre rôle de père qui reste égal à celui de la mère.
Rappel : 34 % des enfants de séparés ne voient plus jamais leur père et seulement 42 % d’enfants le voient au moins une fois par mois !
De nombreux indicateurs mettent en évidence une extrême vulnérabilité des hommes ne pouvant exercer leur paternité, cette exclusion allant d’un droit de visite et d’hébergement de deux weekends par mois à une rupture totale de lien avec leur enfant. Le nombre de suicides, majoritairement de pères, est estimé à 60 sur environ 8000 procédures, soit un cas sur cent trente, ce qui est une prévalence parmi les plus élevées qu’on puisse trouver.
Plus de 1,3 million de pères sont privés de leur enfant. Alors qu’attend l’État pour agir ?
Stop à l’éloignement géographique volontaire.
Stop à la priorité donnée aux mères par les juges en ce qui concerne le droit de garde.
Sanctions fermes pour les non représentations d’enfant.
Constitution de partie civile systématique pour les enfants victimes d’aliénation parentale et de non représentation.
David Sellier
Un papa qui ne voit pas ses enfants grandir.
Manifeste archivé au format PDF (76 Ko, 2 p.).
la garde alternée devrait se faire UN AN / UN AN pour les pères dont la mère est partie à 900 km Ce n’est pas suffisant dans la loi une semaine sur deux
L’État est misérable… Il se fout de l’avenir de ses enfants… Rien à faire avec.