- « La pension alimentaire minimale va être augmentée de 50 % », La Voix du Nord, 1er septembre 2022.
Article archivé au format PDF (142 Ko, 2 p.).
- « San Marino legalises abortion, one year after landmark referendum », Euronews, 1er septembre 2022.
Article archivé au format PDF (607 Ko, 2 p.).
- « Spain’s bishops criticize bill to allow abortions without parental consent », Crux, 1er septembre 2022.
Article archivé au format PDF (1.42 Mo, 2 p.).
- Chrétien-Jonemann (Laura), « Paternité et conséquences : haro sur le “low cost judiciaire” devant le JAF », Village de la Justice, 1er septembre 2022.
Article archivé au format PDF (83 Ko, 2 p.).
- Garderet (Sylvaine), « Accès des mineurs aux contenus de Twitter : L’Unaf et plusieurs associations de protection de l’enfance ont saisi l’Arcom », Union nationale des associations familiales, 1er septembre 2022.
Article archivé au format PDF (136 Ko, 1 p.).
- Plessis (Cédric), « Sébastien, Gaëlle 500 km tous les 15 jours pour leur DVH déménagement garde alternée 💪 », Juste papa, 1er septembre 2022.
- Sargisian (Nona), et alii, « Cancer in children born after frozen-thawed embryo transfer: A cohort study », PLOS Medicine, 1er septembre 2022.
Le nombre d’enfants nés par procréation médicalement assistée avec transfert d’embryons congelés-décongelés augmente dans le monde entier et dépasse désormais le nombre d’enfants nés après transfert d’embryons frais dans de nombreux pays.
Les enfants nés après transfert d’embryons congelés-décongelés présentent un risque accru de macrosomie, associé à un risque plus élevé de cancer infantile. Les études sur l’association entre la procréation médicalement assistée et le risque de cancer chez l’enfant aboutissent cependant à des résultats contradictoires.
L’objectif de cette nouvelle étude était de déterminer si les enfants nés par procréation médicalement assistée, en particulier après un transfert d’embryons congelés-décongelés, courent effectivement un risque plus élevé de cancer infantile que les enfants nés après une conception spontanée ou un transfert d’embryons frais.
Ses auteurs ont réalisé une étude de cohorte basée sur les données de quatre pays nordiques : le Danemark, la Finlande, la Norvège et la Suède. L’étude a porté sur 7 944 248 enfants, dont 7 772 474 enfants nés après une conception spontanée et 171 774 enfants nés par procréation médicalement assistée (2,2 %), ce qui représente tous les enfants nés entre 1994 et 2014 au Danemark, 1990 et 2014 en Finlande, 1984 et 2015 en Norvège et 1985 et 2015 en Suède. Les taux de cancer et de groupes de cancer spécifiques chez les enfants nés avec chaque méthode de conception ont été déterminés en croisant les données des registres nationaux de procréation médicalement assistée avec les registres nationaux de données sur le cancer et la santé et les registres de population.
Après un suivi moyen de 9,9 et 12,5 ans, le taux d’incidence des cancers avant l’âge de dix-huit ans était de 16,7/100 000 années-personnes pour les enfants nés par conception spontanée (16 184 cas) et 19,3/100 000 années-personnes pour les enfants nés par procréation médicalement assistée (329 cas). Le rapport de risque ajusté était de 1,08. Un ajustement a été effectué en fonction de l’âge de la mère à la naissance, de l’année de naissance, de la parité, de la pluralité, du pays de naissance et du sexe. Les enfants nés après transfert d’embryons congelés-décongelés présentaient un risque plus élevé de cancer (48 cas, taux d’incidence de 30,1/100 000 années-personnes) par rapport aux conceptions spontanées (rapport de risque ajusté : 1,65) et aux transferts d’embryons frais (rapport de risque ajusté :1,59 ; taux d’incidence 18,8/100 000 années-personnes). L’ajustement en fonction de la macrosomie, des malformations congénitales majeures ou du poids à la naissance a légèrement atténué l’association. Des risques plus élevés de mélanomes et de tumeurs épithéliales après toutes méthodes de procréation médicalement assistée et de leucémie après transfert d’embryons congelés-décongelés ont été observés.
Les enfants nés après transfert d’embryons congelés-décongelés présentent donc un risque plus élevé de cancer infantile que les enfants nés après une conception spontanée ou un transfert d’embryon frais. Si ces résultats doivent être interprétés avec prudence en raison du petit nombre d’enfants atteints de cancer, ils suscitent cependant des inquiétudes compte tenu de l’utilisation croissante du transfert d’embryons congelés-décongelés, en particulier des stratégies de gel complet sans indications médicales claires.
Article archivé au format PDF (1.04 Mo, 21 p.).
- Villeroché (Sabine, de), « Aude Mirkovic : “La levée de l’anonymat va rendre plus visible encore le capharnaüm créé par les lois qui détricotent l’institution de la famille” », Boulevard Voltaire, 1er septembre 2022.
Article archivé au format PDF (420 Ko, 4 p.).
- Wimmer (Anian Christoph), « German court rules in favor of right to pray near abortion counseling facility », Catholic News Agency, 1er septembre 2022.
Article archivé au format PDF (1.04 Mo, 3 p.).