Bertrand (Anne-Marie), Question écrite nº 13813 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 259].
Mme Anne-Marie Bertrand attire l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Billon (Annick), Question écrite nº 13791 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, pp. 251-252].
Mme Annick Billon alerte M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par la mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Blondin (Maryvonne), Question écrite nº 13809 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, pp. 257-258].
Mme Maryvonne Blondin appelle l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre, près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Bonfanti-Dossat (Christine), Question écrite nº 13793 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 252].
Mme Christine Bonfanti-Dossat appelle l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Boulay-Espéronnier (Céline), Question écrite nº 13805 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 256].
Mme Céline Boulay-Espéronnier attire l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Brisson (Max), Question écrite nº 13794 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, pp. 252-253].
M. Max Brisson appelle l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, il interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, il lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Cidrac (Marta, de), Question écrite nº 13788 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, pp. 250-251].
Mme Marta de Cidrac attire l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par la mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Cohen (Laurence), Question écrite nº 13801 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, pp. 254-255].
Mme Laurence Cohen alerte M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Courteau (Roland), Question écrite nº 13795 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 253].
M. Roland Courteau alerte M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, il interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, il lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Darcos (Laure), Question écrite nº 13806 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, pp. 256-257].
Mme Laure Darcos appelle l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue. Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre, près de 240 000 personnes vivent dans la rue et quatre millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France. Ces situations de mal-logement multiplient les risques domestiques, ont un impact considérable sur la santé physique et mentale des familles concernées et ont pour conséquence directe les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales, dont la progression est dramatique. De nombreuses associations ont, à ce sujet, dénoncé l’absence d’information concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences. L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficient d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue et du mal-logement. Aussi, elle souhaite être informée sur la volonté du Gouvernement de mettre en œuvre rapidement, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement. En tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle des violences conjugales, elle lui demande, en particulier, de lui préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement envisage de mettre en œuvre son annonce de 1 000 places d’hébergement d’urgence supplémentaires.
Deseyne (Chantal), Question écrite nº 13804 au ministre chargé de la ville et du logement sur l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, pp. 255-256].
Mme Chantal Deseyne appelle l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue. Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France. Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales. Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences. L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue. Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement. De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et à la suite des annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement envisage de mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Duranton (Nicole), Question écrite nº 13797 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 254].
Mme Nicole Duranton attire l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre, près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont souligné le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
La création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires est essentielle, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge le Gouvernement sur la mise en œuvre d’un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement, plébiscité par les associations.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Eustache-Brinio (Jacqueline), Question écrite nº 13808 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 257].
Mme Jacqueline Eustache-Brinio attire l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Filleul (Martine), Question écrite nº 13798 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 254].
Mme Martine Filleul attire l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Garriaud-Maylam (Joëlle), Question écrite nº 13787 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 250].
Mme Joëlle Garriaud-Maylam alerte M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent les difficultés rencontrées par de nombreuses femmes avec l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle s’interroge sur la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
En tant que vice-présidente de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement pense mettre en œuvre cette belle annonce de 1 000 places supplémentaires d’hébergement.
Hervé (Loïc), Question écrite nº 13792 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 252].
M. Loïc Hervé alerte M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par la mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, il interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, il lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Jasmin (Victoire), Question écrite nº 13783 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 250].
Mme Victoire Jasmin souhaite alerter M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, de la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1].
Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes.
Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre, près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales.
Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle s’interroge sur la volonté du Gouvernement de mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et à la suite des annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement sur l’ensemble du territoire et particulièrement en outre-mer.
Elle souhaite particulièrement insister sur l’impérieuse urgence d’appliquer ces mesures, également, aux territoires d’outre-mer qui sont, selon les données statistiques disponibles, particulièrement confrontés aux problématiques liées aux violences conjugales et intra-familiales.
Kauffmann (Claudine), Question écrite nº 13789 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 251].
Mme Claudine Kauffmann attire l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par la mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Laborde (Françoise), Question écrite nº 13814 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, pp. 259-260].
Mme Françoise Laborde attire l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Alors que le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1], deux ans plus tard, les chiffres sont plus alarmants encore que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre, près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement, en France.
Ces situations exacerbent l’augmentation des risques domestiques, impactent la santé physique et mentale, aggravent les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants ainsi que les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences, chiffre lui-même très éloigné des 10 000 places attendues pour répondre aux besoins réels.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
En tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat et suite aux annonces issues du Grenelle contre les violences conjugales, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement compte mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Lepage (Claudine), Question écrite nº 13811 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 258].
Mme Claudine Lepage attire l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Létard (Valérie), Question écrite nº 13802 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 255].
Mme Valérie Létard attire l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par la mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Malet (Viviane), Question écrite nº 13796 au ministre chargé de la ville et du logement sur le mal-logement [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 253].
Mme Viviane Malet appelle l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales.
Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle le prie de lui indiquer ses intentions sur la mise en œuvre, comme les associations le demandent, d’un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Meunier (Michelle), Question écrite nº 13812 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 259].
Mme Michelle Meunier alerte M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Monier (Marie-Pierre), Question écrite nº 13803 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 255].
Mme Marie-Pierre Monier attire l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Rossignol (Laurence), Question écrite nº 13810 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 258].
Mme Laurence Rossignol appelle l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre, près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que vice-présidente de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Vérien (Dominique), Question écrite nº 13807 au ministre chargé de la ville et du logement sur le financement de l’hébergement d’urgence [Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 3 S (Q), 16 janvier 2020, p. 257].
Mme Dominique Vérien attire l’attention de M. le ministre auprès de la ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, chargé de la ville et du logement, sur la situation dramatique des personnes en situation de mal-logement ou vivant dans la rue.
Le président de la République s’était engagé, en juillet 2017, à ce que plus personne ne dorme dehors [1]. Deux ans plus tard, les chiffres sont encore plus alarmants que les années précédentes. Selon le vingt-quatrième rapport de la fondation Abbé Pierre près de 240 000 personnes vivent dans la rue et 4 millions de personnes sont touchées par le mal-logement en France.
Ces situations de mal-logement exacerbent l’augmentation des risques domestiques, l’impact sur la santé physique et mentale, les difficultés rencontrées dans le développement et la scolarité des enfants, sans oublier les violences intra-familiales.
Ce sujet revêt, en effet, une importance toute particulière avec la progression alarmante des violences conjugales. Aussi, de nombreuses associations ont dénoncé le fait qu’elles n’avaient toujours aucune précision concernant le financement des 1 000 places d’hébergement d’urgence annoncées par le Gouvernement pour mettre à l’abri les femmes victimes de violences.
L’État doit jouer son rôle et protéger ses concitoyens en consacrant des moyens supplémentaires à la création de nouvelles places d’hébergement d’urgence et de logements temporaires, afin que chacune et chacun bénéficie d’un véritable accompagnement pour sortir de la rue.
Aussi, elle interroge la volonté du Gouvernement à mettre en œuvre, comme les associations le revendiquent, un véritable plan d’urgence en matière d’hébergement et de logement.
De plus, en tant que membre de la délégation aux droits des femmes du Sénat, et suite aux annonces issues du Grenelle, elle lui demande de préciser comment, à quelle échéance et avec quels moyens le Gouvernement imagine mettre en œuvre cette annonce de 1 000 places d’hébergement.
Réponse du ministère de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales – Ville et logement publiée dans le Journal officiel de la République française, édition « Débats parlementaires – Sénat », nº 12 S (Q), 19 mars 2020, pp. 1408-1409.
Suivant l’engagement pris par le Président de la République, l’effort de l’État envers les personnes sans domicile ou mal logées s’est particulièrement accru depuis le début du quinquennat. À cet égard, le nombre de places d’hébergement est passé de 136 900 en 2017 à 151 800 en 2019, soit une hausse de 11 %. Sur le long terme, le nombre de places d’hébergement depuis 2013 a augmenté de 60 000 places. En outre, pour éviter les ruptures dans les parcours d’insertion, le Gouvernement s’attache à pérenniser les places temporaires créées pendant la période hivernale. Aussi, respectivement 5 000 et 6 000 places temporaires ont été pérennisées à l’issue des hivers 2017-2018 et 2018-2019. Cette année encore, le Gouvernement devrait pérenniser une partie des places créées temporairement pour l’hiver en privilégiant les places à destination des familles. Au-delà de la réponse d’urgence, qui augmente sensiblement d’années en années, la mise en œuvre du plan quinquennal pour le logement d’abord et la lutte contre le sans-abrisme vise à accélérer l’orientation des publics hébergés vers le logement, de façon à les insérer durablement et à libérer des places pour les personnes qui ne bénéficient pas d’une solution d’hébergement. Présenté le 11 septembre 2017 à Toulouse par le Président de la République, le plan quinquennal propose une réforme structurelle de l’accès au logement pour les personnes sans domicile. Il répond aux constats d’un sans-abrisme persistant en France et d’une saturation toujours croissante des dispositifs d’hébergement d’urgence dans les territoires. Cette nouvelle stratégie a pour ambition de diminuer de manière significative le nombre de personnes sans domicile d’ici 2022. Il s’agit de passer d’une réponse construite dans l’urgence, s’appuyant majoritairement sur des places d’hébergement avec des parcours souvent longs et coûteux, à un accès direct au logement avec un accompagnement social adapté aux besoins des personnes. Dans cette optique, le Gouvernement s’est engagé à créer 50 000 places dans des structures de logement adapté d’ici 2022 : 40 000 places en intermédiation locative et 10 000 places en pensions de famille. Par ailleurs, sur la période 2018-2022, 40 000 logements en un prêt locatif aidé d’intégration (PLAI) seront financés chaque année. En deux ans, plus de 150 000 personnes sont sorties de la rue ou d’un centre d’hébergement vers un logement grâce au plan Logement d’abord. 81 000 personnes ont accédé au logement pérenne en 2019. Ces personnes ont été orientées vers le logement social, les pensions de famille ou vers le logement locatif privé grâce aux dispositifs d’intermédiation locative. Ce chiffre marque une progression de + 16 % par rapport à l’année 2018 (69 000 personnes). Par ailleurs, 10 250 logements ont été mobilisés pour des ménages bénéficiaires de la protection internationale soit 17 % de plus qu’en 2018. L’action doit être renforcée par ailleurs pour un public en très grande fragilité, les femmes victimes de violence. C’est pourquoi, le Premier ministre a annoncé la création de 1 000 nouvelles places d’hébergement lors du Grenelle contre les violences conjugales. Après un travail d’identification des besoins et des projets avec le préfet, la répartition des places a été réalisée entre régions pour une ouverture rapide. Les projets ont été identifiés avec l’objectif de répondre aux besoins spécifiques exprimés dans le cadre du Grenelle et d’assurer un accompagnement de qualité. C’est la raison pour laquelle ceux portés par des associations spécialisées dans l’accompagnement des femmes victimes de violences ont été priorisés. Elle prévoit aussi un nombre important de places en outre-mer. Les projets seront financés à hauteur de cinq millions d’euros sur le programme 177 : « Hébergement, parcours vers le logement et insertion des personnes vulnérables », dont la responsabilité relève de la direction générale de la cohésion sociale. À l’issue de la notification des nouvelles places prévues dans le cadre du Grenelle, le parc de places d’hébergement à destination des femmes victimes de violences comprendra ainsi 6 391 places parmi les 150 000 places d’hébergement existantes. Un comité de pilotage national de l’hébergement des femmes victimes de violences réunissant les principales associations gestionnaires permettra de partager les bonnes pratiques et d’intégrer le dispositif d’hébergement dans un partenariat plus large avec les services du ministère de la justice et les forces de l’ordre. L’objectif est d’assurer un parcours d’insertion cohérent pour les victimes. De façon générale et au-delà de la création des places, le ministère de la ville et du logement est particulièrement engagé dans le Grenelle contre les violences conjugales. Trois autres mesures phares visent à proposer un accompagnement renforcé aux femmes victimes de violences : – la mise en place pour les forces de l’ordre, depuis janvier 2020, d’une application informatique sécurisée de géolocalisation des places d’hébergement d’urgence et d’insertion existantes et disponibles à destination des femmes victimes de violences. Cette plateforme, qui ne contient aucune donnée nominative, constitue un outil complémentaire à disposition des forces de l’ordre lorsque le numéro d’urgence 115 n’est pas joignable ; – la coordination entre la plateforme d’écoute du 39 19 et les services intégrées [sic] d’accueil et d’orientation (SIAO) pour garantir une mise en sécurité plus rapide des victimes de violences qui contactent le 39 19 et demandent un hébergement. Elle vise notamment à identifier un point de contact dédié aux femmes victimes de violences dans les SIAO et une ligne téléphonique réservée à la plateforme d’écoute ; – l’accès à la garantie VISALE auprès d’Action Logement permettant d’obtenir une caution locative gratuite, et la mise à disposition de davantage de logements pérennes pour ce public par les bailleurs sociaux dans le cadre d’une convention nationale conclue le 24 septembre 2019 entre l’État, l’Union sociale pour l’habitat et le secteur associatif.
Note de P@ternet
- Le féminisme se nourrit de fake news. Outre le propre discours d’Emmanuel Macron prononcé lors de la cérémonie de naturalisation du 27 juillet 2017 à la préfecture du Loiret, on se reportera aux éclaircissements suivants : Leboucq (Fabien), « Macron avait-il promis qu’il n’y aurait plus de SDF ? », Libération, 26 janvier 2019 ; Orsini (Alexis), « Emmanuel Macron avait-il vraiment promis qu’il n’y aurait plus de SDF en France fin 2017 ? », 20 minutes, 25 janvier 2019.
Communiqué de presse archivé au format PDF (31 Ko, 1 p.).
Questions archivées au format PDF (278 Ko, 14 p.).