- « Au Maroc, l’infertilité touche près de 15 % des couples », Gènéthique, 9 mars 2020.
Article archivé au format PDF (101 Ko, 1 p.).
- « Un chiffre d’affaires record pour la société Mithra sur le marché de la contraception », Gènéthique, 9 mars 2020.
Article archivé au format PDF (169 Ko, 2 p.).
- « L’efficacité des méthodes naturelles comparable à celle des contraceptifs artificiels », Gènéthique, 9 mars 2020.
Article archivé au format PDF (116 Ko, 2 p.).
- « Missing at birth: on sex selective abortion and infanticide », The Hindu, 9 mars 2020.
Article archivé au format PDF (30 Ko, 2 p.).
- « La région Île-de-France signe une convention avec le Planning Familial », Gènéthique, 9 mars 2020.
Article archivé au format PDF (88 Ko, 2 p.).
- Bouanchaud (Cécile), Cordier (Solène), Bouvier (Pierre), « Le défilé du 8 mars symbole de la “convergence des luttes” pour les associations », Le Monde, nº 23379, 10 mars 2020, p. 13.
Article archivé au format PDF (1.36 Mo, 2 p.).
- Collectif, Convention Enlèvement d’enfants de 1980. Guide de bonnes pratiques. Partie VI. Article 13(1)(b), La Haye, Conférence de La Haye de droit international privé, 9 mars 2020.
Approuvé par les membres de la Conférence de La Haye de droit international privé le 12 décembre dernier, ce guide vise à promouvoir l’application cohérente de l’article 13(1)(b) de la Convention de La Haye du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l’enlèvement international d’enfants ainsi que les bonnes pratiques pour les autorités centrales et les juges qui sont amenés à appliquer cette disposition essentielle relative à l’une des exceptions au principe du retour immédiat d’un enfant déplacé ou retenu illicitement : le risque grave que le retour de l’enfant ne l’expose à un danger physique ou psychique, ou de toute autre manière ne le place dans une situation intolérable. Le guide fournit des conseils et informations quant à l’application et l’interprétation de cette exception, et fait état de bonnes pratiques provenant de différents ressorts.
Document archivé au format PDF (5.39 Mo, 86 p.).
- Collectif, « Le sacrifice d’un homme à l’aune d’une cause », Le Monde, nº 23379, 10 mars 2020, p. 26.
Article archivé au format PDF (1.47 Mo, 2 p.).
- Denis (Claire), « Je ne pense pas que quiconque ait voulu cracher au visage des victimes ni d’Adèle Haenel », Le Monde, nº 23379, 10 mars 2020, p. 26.
Article archivé au format PDF (1.47 Mo, 2 p.).
- Grangeray (Émilie), « “Les Couilles sur la table” invite à changer de regard », Le Monde, nº 23379, 10 mars 2020, p. 24.
Article archivé au format PDF (1.57 Mo, 2 p.).
- Laugier (Sandra), « Le texte de Despentes, c’est de la légitime violence », Le Monde, nº 23379, 10 mars 2020, p. 27.
Article archivé au format PDF (1.21 Mo, 2 p.).
- L’Helgoualc’h (Henri), « Violences conjugales : préjugés, stéréotypes, œillères… et Peggy Sastre », Les hommes libres, 9 mars 2020.
Article archivé au format PDF (277 Ko, 4 p.).
- Pison (Gilles), « France : la fécondité la plus élevée d’Europe », Population & Sociétés, nº 575, 9 mars 2020.
L’indicateur de fécondité est resté stable en France entre 2018 et 2019 après avoir baissé de 2,02 enfants par femme en 2010 à 1,84 en 2018, et avoir même atteint 1,66 en 1993. 714 000 naissances ont été recensées en France métropolitaine en 2019 contre 720 000 en 2018. Expert à l’Institut national d’études démographiques, Gilles Pison explique cette diminution par une légère baisse du nombre de femmes en âge d’avoir des enfants et la tendance à avoir des enfants toujours plus tard :
« Les femmes qui ont accouché en 2019 avaient en moyenne 30,8 ans. Cet âge n’a cessé de progresser depuis 1977 où celles femmes qui avaient accouché avaient en moyenne 26,5 ans. »
Selon Gilles Pison, la baisse intervenue en France au cours des dernières années – « moins 8 % entre 2008 et 2018 » – serait à relativiser puisque l’indicateur de fécondité a reculé de 17 % au Royaume-Uni et 23 % aux États-Unis sur la même période. La France est également le pays d’Europe à la fécondité la plus élevée.
« La fécondité est en général élevée en Europe du Nord et faible en Europe du Sud […]. Au sein de ce gradient Nord-Sud la France dénote : quoique située au Centre-Ouest, elle a la fécondité la plus élevée d’Europe, et se rattache donc aux pays du Nord.
« Ce contraste Nord-Sud était déjà présent il y a 30 ans, il semble donc peu lié à la conjoncture mais plutôt à des facteurs de fond. Pour l’expliquer, les démographes évoquent le statut des femmes, plus défavorable au Sud qu’au Nord : les inégalités entre hommes et femmes y sont plus marquées et les tâches au sein du couple, moins bien partagées […]. Les politiques visant à favoriser le travail des femmes et à leur permettre de concilier travail et famille y sont également moins développées. Enfin, la société considère que la maternité n’est pas compatible avec un emploi au moins dans les premières années de l’enfant. Si une femme en a un, elle risque de devoir arrêter de travailler et rester à la maison pour s’en occuper. Or les femmes ne souhaitent pas d’une vie de mère au foyer comme leurs mères ou leurs grand-mères et les couples préfèrent bénéficier de deux revenus. C’est vrai en Europe comme partout ailleurs dans le monde. Les couples repoussent donc à plus tard l’arrivée d’un enfant s’il ne leur est pas possible de concilier travail et famille. À force de la reporter, une partie des femmes finit par renoncer à la naissance désirée. »
Article archivé au format PDF (0.98 Mo, 4 p.).
Communiqué de presse archivé au format PDF (187 Ko, 3 p.).
Thierry Guinot
- « Thierry un papa qui demande à être écouté par l’Arménie !!! », Juste papa, 9 mars 2020.