Une bonne nouvelle pour commencer…
- « 19 novembre : Journée internationale des hommes », Néo-Masculin, 31 octobre 2018.
Article archivé au format PDF (124 Ko, 3 p.).
- « + 71 % », La République des Pyrénées, nº 22485, 31 octobre 2018, p. 40.
Article archivé au format PDF (309 Ko, 2 p.).
- « Au Danemark, un programme permet aux parents et futurs parents d’un bébé porteur de trisomie 21 de se rencontrer », Gènéthique, 31 octobre 2018.
Article archivé au format PDF (216 Ko, 1 p.).
- « Don d’ovocytes, don de sperme, l’Agence de la biomédecine y va de son couplet », Gènéthique, 31 octobre 2018.
Article archivé au format PDF (66 Ko, 2 p.).
- « Respecter l’embryon comme personne humaine : le Recteur de l’Université catholique de Lyon auditionné à l’Assemblée nationale », Gènéthique, 31 octobre 2018.
Article archivé au format PDF (149 Ko, 2 p.).
- Beighton (Leonard), Draper (Don), Pearson (Alistair), The taxation of families. International comparisons 2017, London, Christian Action Research and Education, 31 octobre 2018.
Document archivé au format PDF (818 Ko, 38 p.).
- Khandwala (Yash S.), et alii, « Association of paternal age with perinatal outcomes between 2007 and 2016 in the United States: population based cohort study », British Medical Journal, vol. 363, nº 8174, 31 octobre 2018, article k4372.
Une équipe de chercheurs américaine a évalué l’impact d’un âge paternel avancé sur les problèmes maternels et périnataux aux États-Unis. Leur étude a porté sur 40 529 905 naissances vivantes documentées entre 2007 et 2016. Les principaux problèmes maternels recherchés ont été le diabète gestationnel et la pré-éclampsie. Les principaux problèmes périnataux recherchés ont été l’admission dans une unité de soins intensifs néonataux, l’âge gestationnel, le besoin d’antibiotiques post-partum, les convulsions, le poids à la naissance et le score d’Apgar à cinq minutes. Un critère secondaire a été le nombre d’événements périnataux évitables.
Un âge paternel avancé est associé à un risque accru de faible poids à la naissance, de faible score d’Apgar et de naissance prématurée. Après ajustement pour l’âge maternel, les nourrissons nés de pères âgés de quarante-cinq ans ou plus ont une probabilité de naissance prématurée 14 % plus élevée – indépendamment de l’âge gestationnel – et une probabilité de convulsions 18 % plus élevée que les nourrissons nés de pères âgés de vingt-cinq à trente-quatre ans. La probabilité de diabète gestationnel est 34 % plus élevée chez les mères ayant les partenaires les plus âgés. Les chercheurs estiment que 13,2 % des naissances prématurées et 18,2 % des diabètes gestationnels sont attribuables à l’âge paternel avancé.
Un âge paternel avancé est donc associé à des effets négatifs sur les enfants et les mères. Les impacts au niveau de la population sont actuellement modestes au regard de la prévalence relativement faible de l’âge paternel avancé aux États-Unis. Cette prévalence ayant toutefois doublé au cours de la dernière génération, une enquête plus approfondie serait justifiée.
Article archivé au format PDF (368 Ko, 8 p.).
- Kurian (Anne), « Catéchèse en français : la fidélité, c’est “assumer la réalité” », Zenit, 31 octobre 2018, pp. 8-9.
Article archivé au format PDF (10 Ko, 2 p.).
- MacKay (Tommy), « Shared Parenting – Benefits and Barriers. An overview of Research on Contact and Residence », communication faite lors de l’assemblée générale annuelle de l’association Families Need Fathers Scotland, 31 octobre 2018.
Document archivé au format PDF (819 Ko, 27 p.).
Hadi Hanister
- « Un père avait giflé un prof : du sursis », La République des Pyrénées, nº 22485, 31 octobre 2018, p. 41.
Article archivé au format PDF (312 Ko, 2 p.).