Revue de presse du 1er février 2018

Revue de presse


  • « Des “Tanguy” en nombre », C NEWS, nº 2201, 1er février 2018, p. 9.

C NEWS, nº 2201, 1er février 2018, p. 9


Études & Résultats, nº 1050, 1er février 2018Plus de 3,5 millions de parents d’enfants mineurs – autant de mères que de pères – travaillent au moins un weekend sur deux en France métropolitaine. À caractéristiques équivalentes, les femmes sans enfant travaillent plus souvent le weekend que les mères, tandis que les hommes sans enfant et les pères ont la même probabilité d’être dans ce cas.

Les parents actifs le weekend bénéficient généralement d’un emploi du temps allégé en semaine. Ils sont cependant confrontés à d’autres types de contraintes horaires, notamment lorsqu’ils travaillent le dimanche.

1,6 million d’enfants de moins de six ans (soit 39 % d’entre eux) ont un de leurs parents qui travaille le samedi ou le dimanche. Ils sont alors gardés par l’autre parent ou confiés à leurs grands-parents le weekend, plus souvent que les enfants dont les parents travaillent uniquement du lundi au vendredi. En contrepartie, ils passent plus de temps en semaine avec leurs parents et moins de temps dans un mode d’accueil formel, surtout s’ils ne sont pas scolarisés. Enfin, au sein des couples qui travaillent le weekend, les pères s’impliquent davantage que les autres pères actifs dans le partage des tâches de parentalité.


Depuis la naissance du premier « bébé éprouvette » en 1978, le nombre de personnes conçues par les techniques de procréation médicalement assistée a augmenté beaucoup plus rapidement que prévu, atteignant aujourd’hui plusieurs millions : près de 0,1 % de la population mondiale totale actuelle aurait été ainsi conçue. Comme de plus en plus de patients fondent des familles et que leurs enfants deviennent parents à leur tour, le nombre de ceux qui doivent, directement ou indirectement, leur existence aux techniques de procréation médicalement assistée augmentera encore considérablement dans les décennies à venir.

Cependant, aucune tentative n’avait été faite jusqu’à présent pour mesurer l’ampleur de ce phénomène. Les auteurs de cette étude en ont projeté la croissance estimée jusqu’à l’année 2100. La principale variable stimulant cette croissance est l’accès aux techniques. En restant au niveau actuel d’environ 400 000 bébés par an, les auteurs estiment que 157 millions de personnes devront leur vie aux techniques de procréation médicalement assistée à la fin de ce siècle, soit 1,4 % de la population mondiale. Avec 30 000 naissances annuelles supplémentaires, on atteindrait 394 millions de personnes, soit 3,5 % de la population mondiale. Alors que la lutte contre l’infertilité se poursuit, les personnes devant leur vie aux techniques de procréation médicalement assistée contribueront donc de façon significative à la croissance démographique.


  • Helvig (Jean-Michel), « Justice : alerte à la pollution politique », La République des Pyrénées, nº 22259, 1er février 2018, p. 2.

La République des Pyrénées, nº 22259, 1er février 2018, p. 2




  • Jacquin (Jean-Baptiste), « La justice malade en Seine-Saint-Denis », Le Monde, nº 22724, 2 février 2018, p. 9.

  • Morin (Violaine), « Jean-Michel Blanquer au secours du latin et du grec », Le Monde, nº 22724, 2 février 2018, p. 11.

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