Les chiffres du divorce ont explosé depuis plus de dix ans en France. Statistiquement, pour deux couples qui célèbrent leur union chaque année, un troisième divorce. Les conséquences sont nombreuses : économiques, familiales, psychologiques, sociétales… et les causes sont multiples : internes aux couples bien sûr, mais aussi externes. La législation actuelle, notamment, tend de plus en plus à faire du mariage un simple contrat privé, dont on prévoira les modalités de fin, « le divorce », dès sa rédaction.
Afin de défendre le mariage et l’amour conjugal, les Associations familiales catholiques ont identifié dix mesures concrètes et simples pour susciter un environnement qui aide les couples à durer. La mise en œuvre de ces mesures dépend des élus, qui doivent en être informés. Pour ce faire, a été créée la plateforme « Arrêtons la casse », qui permet de soutenir ces propositions en les envoyant aux députés nouvellement élus. L’interpellation sera d’autant plus forte que le nombre de courriels envoyés sera important.
Le taux élevé du divorce en France n’est pas une fatalité. Sa réduction est un levier pour une société pacifiée. Nos enfants sont les citoyens de demain, leur mariage est le ciment de la société de demain. Ne leur laissons pas en héritage l’amour en ruine.
Nous sommes début 2019, les situations familiales sont de plus en plus aggravées, car les enfants sont de plus en plus isolés de l’un des deux parents…
1983 conduisait à ce que des pères souhaitaient ne pas être coupés de la vie de leurs enfants.
Ils instaurent la résidence alternée afin que les enfants continuent à être en relation avec leurs deux parents, mais les féministes s’opposent à cette formule car elles opposent que ce mode de vie n’est pas inscrit dans le Code de la Famille ; en effet Napoléon qui prenait les hommes pour combattre ses opposants dans des guerres destructrices, n’autorisait pas les pères à s’occuper de leurs enfants…
1968 transforme la société économique, les femmes sont prises en compte dans le monde du travail, et cela conduit à une diminution de leur disponibilité dans une bonne condition pour s’occuper du suivi des enfants.
Des parents conciliants accordent l’exercice conjoint de l’autorité parentale en cas de séparation (loi du 22 juillet 1987).
Puis la résidence alternée devient légale par le courage de l’ancienne ministre de la Famille Ségolène Royal qui crée la loi du 4 mars 2002.
Malgré tous ces efforts, c’est une minorité d’enfants qui peuvent en bénéficier.
Lorsque l’on demande aux juges de la famille de mettre en place la garde alternée et que les deux parents sont d’accord, les juges l’accordent presque tout le temps.
À suivre.