Communiqué de presse de SOS PAPA
Mme Medkour vient d’être condamnée à moins de deux ans de prison ferme (qui ne seront donc pas exécutables !) malgré une demande du procureur de cinq ans de prison ferme. Nul doute que si les « genres » avaient été inversés, le coupable alors masculin aurait été condamné beaucoup plus lourdement !
Cela étant, SOS PAPA tient à signaler par dessus tout ce qui est dans le droit fil de notre communiqué du 9 avril, à l’ouverture du procès :
- le jugement relève bien, outre des violences physiques, des violences psychologiques (« intimidations, menaces, escroquerie… »). Le tout étant qualifié de torture… ;
- parmi celles-ci : menaces de dénonciation de pédophilie ;
- or, ce genre de dénonciation calomnieuse est très couramment utilisée par les mères désireuses de marginaliser les pères dans les procédures devant les juges aux affaires familiales, avec succès.
- Les JAF n’y donnent jamais crédit (sinon les pères seraient logiquement traduits en correctionnelle), mais s’en servent systématiquement pour refuser aux pères l’égalité d’hébergement : « Il y a mauvaise entente (sic !) donc garde des enfants à la mère… » Ce mécanisme délétère est même constaté page 29 d’une étude du ministère de la Justice (DACS-PEJC 2013).
- Dans le même ordre d’idée, les actes de chantage « Enfant contre avantage matériel » sont légion, comme dans ce constat d’huissier : « Jte propose garde alternée + 50000 euros et je garderai la maison… Enfan + argent jpeu pa faire mieu… cest ma derniere proposition pour etre conciliante ».
- Cette discrimination systématique du parent de sexe masculin, avec les multiples déviances qu’elle autorise, engendre un millier de suicides de pères chaque année.
- Ces drames ne se résorberont que lorsqu’une seule petite phrase en plus dans le code civil garantira le principe d’égalité parentale.
Jean Latizeau, Président