- « Marche pour la Vie 2022 : une mobilisation en route vers l’élection présidentielle », KTO TV, 18 janvier 2022.
- « PMA : banque de sperme ou site de rencontre ? », Gènéthique, 18 janvier 2022.
Article archivé au format PDF (315 Ko, 2 p.).
- « PMA : des conséquences sur la santé ? », Gènéthique, 18 janvier 2022.
Article archivé au format PDF (377 Ko, 2 p.).
- « Roberta Metsola, opposée à l’avortement, élue à la tête du Parlement européen », Famille chrétienne, 18 janvier 2022.
Article archivé au format PDF (148 Ko, 3 p.).
- « Le Royaume-Uni autorise le stockage des embryons et gamètes jusqu’à 55 ans », Gènéthique, 18 janvier 2022.
Article archivé au format PDF (184 Ko, 2 p.).
- « Ukraine : la GPA plutôt que l’adoption internationale ? », Gènéthique, 18 janvier 2022.
Article archivé au format PDF (760 Ko, 2 p.).
- Acs (Marie), Boussad (Nadia), « En Île-de-France, les enfants de 3 à 17 ans sont très nombreux, excepté à Paris », Insee Flash Île-de-France, nº 63, 18 janvier 2022.
L’Île-de-France est une des régions les plus jeunes de France métropolitaine, avec 2,4 millions d’enfants âgés de trois à dix-sept ans, soit un Francilien sur cinq. Ces enfants sont proportionnellement moins nombreux dans la capitale que dans les autres départements. La région étant très urbanisée, 95 % d’entre eux vivent dans une commune urbaine. Plus la commune est dense et plus les enfants résident dans des familles dites « monoparentales » ou nombreuses. La moitié des enfants ne disposent pas de chambre individuelle en Île-de-France, contre seulement 23 % en province. Ils vivent également plus souvent dans un ménage issu de l’immigration. Enfin, 12 % des enfants ont au moins un parent au foyer.
Article archivé au format PDF (300 Ko, 2 p.).
- Blotcky (Alan D.), « Ethical Considerations for Cases Involving Parental Alienation », The Law Center, 18 janvier 2022.
- Brutel (Chantal), « Entre ville et campagne, les parcours des enfants qui grandissent en zone rurale », Insee Première, nº 1888, 18 janvier 2022.
17,7 millions d’enfants, adolescents et jeunes adultes de trois à vingt-quatre ans vivaient en France au 1er janvier 2018. Parmi eux, 30 % vivaient en milieu rural. Compte tenu des mobilités résidentielles, la part des jeunes vivant dans une commune rurale augmente entre trois et treize ans, reste quasi stable entre quatorze et dix-sept ans, puis chute de 9,5 points à l’âge de dix-huit ans. 20 % des jeunes ruraux partent s’installer en ville à leur majorité, principalement pour poursuivre leurs études.
Les jeunes ruraux grandissent moins souvent en famille dite « monoparentale » que les jeunes urbains et ils vivent dans des logements plus spacieux. Ils sont plus fréquemment scolarisés hors de leur commune de résidence que les jeunes urbains. Ils parcourent une distance croissante selon l’âge de l’école au lycée, entre 9 et 23 kilomètres en moyenne pour rejoindre leur établissement scolaire lorsqu’il est situé dans une autre commune. Entre seize et vingt-quatre ans, les jeunes ruraux suivent plus souvent des formations en apprentissage que les jeunes vivant en milieu urbain.
Article archivé au format PDF (1.30 Mo, 4 p.).
- Cordier (Solène), « Légère hausse des naissances et rebond de l’espérance de vie en France en 2021, malgré le Covid-19 », Le Monde, 18 janvier 2022.
Article archivé au format PDF (314 Ko, 4 p.).
- Papon (Sylvain), « Bilan démographique 2021. La fécondité se maintient malgré la pandémie de Covid-19 », Insee Première, nº 1889, 18 janvier 2022.
D’après le bilan démographique 2021 publié aujourd’hui par l’Institut national de la statistique et des études économiques, la population française était de 67,8 millions d’habitants au 1er janvier dernier (65,6 millions d’habitants en France métropolitaine et 2,2 millions dans les départements d’Outre-mer). La population a augmenté de 0,3 % au cours de l’année 2021, comme en 2020, alors qu’elle avait augmenté de 0,4 % par an de 2014 à 2019. Avec 81 000 personnes supplémentaires, le solde naturel (différence entre les naissances et les décès) est plus élevé qu’en 2020, mais plus bas qu’avant la pandémie de Covid-19.
738 000 bébés sont nés en France en 2021, soit 3 000 (+ 0,4 %) de plus qu’en 2020. L’année 2021 a toutefois été particulière puisque le nombre de naissances a chuté neuf mois après le premier confinement du printemps 2020 : « entre le 15 décembre 2020 et le 15 février 2021, il est né 10 % de bébés de moins qu’à la même période un an auparavant » (p. 1). Cette situation peut s’expliquer par le contexte sanitaire et les incertitudes économiques en rapport avec la pandémie de Covid-19. Les naissances ont néanmoins rebondi après cet épisode, en mars et avril 2021, puis une forte remontée des naissances pendant l’été 2021 a permis de rattraper le niveau des naissances de 2020, voire même de le dépasser. Contrairement au premier, le deuxième confinement (en novembre et décembre 2020) n’a pas entraîné de baisse des conceptions. Cette remontée des naissances met fin à une baisse observée de 2015 à 2020 : l’indicateur conjoncturel de fécondité a très légèrement crû en 2021, passant de 1,82 enfant par femme en 2020 à 1,83 enfant par femme en 2021. Le taux de fécondité des femmes de moins de trente ans baissant depuis les années 2000, la hausse de la fécondité se concentre sur la tranche d’âge des femmes de trente à quarante ans. Le retard des maternités est un mouvement de fond qui se confirme. L’âge moyen à la maternité continue en effet d’augmenter légèrement : il était de 30,9 ans en 2021 (contre 29,3 ans il y a vingt ans). La fécondité est plus élevée et stable en France que dans les autres pays d’Europe.
657 000 personnes sont décédées en France en 2021, soit 12 000 de moins qu’en 2020, mais 44 000 de plus qu’en 2019. Cet accroissement des décès peut s’expliquer à la fois par la pandémie de Covid-19 et par le vieillissement de la population, lié à l’arrivée des générations du baby-boom à des âges de plus forte mortalité. L’espérance de vie à la naissance s’établit à 85,4 ans pour les femmes et 79,3 ans pour les hommes, soit une légère hausse par rapport à 2020, année où elle avait fortement baissé du fait de la pandémie de Covid-19, mais toujours en dessous du niveau de l’année 2019 (85,6 ans pour les femmes et 79,7 ans pour les hommes). La population continue de vieillir en France : au 1er janvier 2022, 21 % des personnes avaient soixante-cinq ans ou plus et 9,8 % avaient soixante-quinze ans ou plus. L’Institut national de la statistique et des études économiques relève que la part des soixante-cinq ans ou plus augmente régulièrement depuis plus de trente ans, avec un vieillissement de la population qui s’accélère depuis le milieu des années 2010 (arrivée à ces âges des premières générations nombreuses nées après-guerre). La France se situe dans la moyenne des pays de l’Union européenne : la part des soixante-cinq ans ou plus y augmente – leur part est supérieure à 22 % en Finlande, en Grèce, en Italie ou au Portugal mais seulement 14,4 % en Irlande.
Enfin, 220 000 mariages ont été célébrés en 2021, soit 42 % de plus qu’en 2020, la pandémie de Covid-19 ayant alors empêché ou repoussé les célébrations.
Article archivé au format PDF (1.64 Mo, 4 p.).
- Puppinck (Grégor), « Le lobby de l’avortement s’acharne sur la Pologne à la CEDH », European Centre for Law and Justice, 18 janvier 2022.
Article archivé au format PDF (203 Ko, 7 p.).
- Thompson (Yann), « Mariages, naissances, espérance de vie… Comment la démographie française a redémarré en 2021 », France info, 18 janvier 2022.
Article archivé au format PDF (0.97 Mo, 3 p.).