Pétition à l’attention de monsieur Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports
Non à l’idéologie du genre qui fait croire aux enfants… qu’ils peuvent changer de sexe d’un coup de baguette magique !
L’idéologie du genre n’a pas sa place à l’école !
Votre circulaire est factuellement un mensonge.
Vous devez la retirer immédiatement :
- La transidentité n’est pas un fait
- La transidentité est une idéologie militante transhumaniste
- La transidentité est une illusion dangereuse
L’être humain peut changer son apparence de genre… Mais il ne peut pas changer de sexe.
La médecine peut modifier l’apparence d’une personne… Mais pas le regard qu’elle porte sur elle-même.
Chez les enfants, le changement de genre est risqué
En bloquant la puberté, il crée des dommages graves et irréversibles.
Par contre, il ne résout pas leur mal-être existentiel.
Les pays qui ont pratiqué ces expériences sur des enfants font marche arrière face aux vies brisées. La France va-t-elle assumer la responsabilité de créer des femmes à barbe stériles, volontairement mutilées ?
Il est désormais scientifiquement reconnu que la transition pédiatrique, c’est-à-dire le changement de genre chez les enfants, est une pratique expérimentale. Nos enfants ne sont pas des cobayes !
Votre dernière circulaire impose l’idéologie militante et politique « d’affirmation du genre choisi » à tous les élèves et aux professeurs. Or cette idéologie n’a aucun fondement scientifique et s’avère dangereuse pour nos enfants. Elle n’a donc pas sa place à l’École :
- L’École n’a pas pour rôle de diffuser des idéologies et des croyances, mais de transmettre des savoirs.
- L’École n’a pas pour rôle de déconstruire les enfants et de mettre en péril leur avenir, mais de les aider à grandir.
Pour ces raisons, je vous demande de retirer immédiatement votre circulaire du 29 septembre 2021 (numéro MENE2128373C).
Vous devez faire cesser la diffusion dans l’École de la République, de l’idéologie militante et politique qui affirme que le genre n’est qu’un ressenti, auquel le corps et le sexe doivent se conformer par la médecine et la chirurgie.
Cette idéologie est en contradiction avec les savoirs enseignés en biologie de la reproduction et va à l’encontre de l’intérêt supérieur de l’enfant.
Respectueusement,
Exposé des motifs
Une théorie militante déterminée à convertir un maximum de jeunes
L’idéologie « transaffirmative du genre » croit :
- que le sexe de naissance est une assignation arbitraire de la nature, sans réalité biologique,
- que le genre, féminin ou masculin, est une assignation de la société.L’idéologie transaffirmative revendique le droit de chaque personne, et ce, quel que soit son âge, d’autodéterminer elle-même son sexe et son genre, sur la base de son ressenti.
L’idéologie transaffirmative revendique le droit de chaque personne, et ce, quel que soit son âge, d’autodéterminer elle-même son sexe et son genre, sur la base de son ressenti.
L’idéologie transaffirmative n’a aucun fondement scientifique.
Le corps d’un humain se développe différemment sous l’influence des hormones sécrétées selon son sexe biologique.
Une idéologie dangereuse pour nos enfants
Depuis une vingtaine d’années, l’idéologie politique transaffirmative a ciblé en priorité les jeunes. Les militants poussent à une transition rapide de changement de genre, avec des conséquences graves et définitives.
L’idéologie transaffirmative, sous couvert de lutter contre la transphobie et l’homophobie, refuse tout recours à un psychologue… et même le principe de poser un diagnostic pour s’assurer que le choix de l’enfant est éclairé.
Très active sur les réseaux sociaux, « l’euphorie transgenre » se propage à grande vitesse. Elle a déjà fait des ravages dans de nombreux pays « précurseurs » tels que la Suède, la Norvège, les Pays-Bas, l’Angleterre, les États-Unis…
Tous ces pays font désormais marche arrière, face à une flambée du nombre de cas chez les jeunes filles… qui annonce déjà un scandale sanitaire !
Les médecins reconnaissent ne pas maîtriser les effets combinés des traitements de bloqueurs de puberté et des hormones transsexuelles, ni leurs conséquences à long terme sur les enfants devenus adultes.
La France est-elle sourde et aveugle aux malheurs du monde ?
Les études scientifiques démontrent les risques de la transition, en particulier chez les plus jeunes. Pourquoi appuyer sur l’accélérateur maintenant et foncer droit dans le mur ? Ne sacrifions pas nos enfants !
L’idéologie d’affirmation du genre fait croire aux jeunes qu’ils seront plus heureux s’ils changent de sexe.
En réalité, une majorité des enfants engagés sur le chemin de la transition de genre souffrent d’un mal-être plus profond. Ils croient avoir trouvé la solution, mais se mentent à eux-mêmes, comme on cache la poussière sous le tapis.
Sauf que le vrai problème n’est pas réglé et que les conséquences physiologiques et psychologiques de la transition sont désastreuses. Et irréversibles.
Gavés de médicaments et d’hormones toute leur vie, leur corps mutilé, ils deviendront des adultes sous traitement, amputés de leur fertilité, incapables de connaître une sexualité normale.
Non, l’idéologie transaffirmative ne sert pas l’intérêt supérieur de l’enfant !
Oui, vous devez retirer votre circulaire immédiatement !
Mise à jour du 19 décembre 2021
Pour distinguer ce qui relève de l’idéologie et ce qui appartient aux savoirs, consultez les ressources produites par SOS Éducation en lien avec des experts :
Note d’analyse La question transgenre chez les enfants archivée au format PDF (1.93 Mo, 87 p.).
Pétition archivée au format PDF (578 Ko, 5 p.).