- « Donner une fessée, injurier ou se moquer de son enfant bientôt interdit par la loi ? », Sud Ouest, 22 février 2018.
Article archivé au format PDF (71 Ko, 2 p.).
- Collectif, « La Fédération Nationale des Collèges de Gynécologie Médicale alerte sur les méthodes de contraception naturelles », communiqué de presse, 22 février 2018.
Communiqué archivé au format PDF (66 Ko, 2 p.).
- Collectif, « Homosexualité et parentalité : de l’importance de la filiation », Le Figaro Vox, 22 février 2018.
Article archivé au format PDF (172 Ko, 5 p.).
- Duboc (Timothée), « Marcel Rufo : “Déshériter, c’est rompre la filiation” », Pèlerin, nº 7056, 22 février 2018.
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- Felfe (Christina), Lalive (Rafael), « Does early child care affect children’s development? », Journal of Public Economics, Vol. 159, mars 2018 (en ligne le 22 février 2018), pp. 33-53.
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- Hoynes (Hilary W.), Whitmore Schanzenbach (Diane), « Safety Net Investments in Children », Brookings Papers on Economic Activity (Conference draft), 22 février 2018.
Article archivé au format PDF (1.32 Mo, 67 p.).
- Löwenbrück (Maël), Viard-Guillot (Louise), « Le traitement judiciaire des violences conjugales en 2015 », Infostat Justice, nº 159, 22 février 2018.
78 400 personnes mises en cause pour des faits de violences conjugales ont vu leur affaire traitée par la justice se terminer en 2015. Pour 32 % d’entre elles, l’infraction insuffisamment caractérisée a conduit à un classement sans suite. Pour les auteurs dont l’affaire était poursuivable, neuf sur dix ont reçu une réponse pénale.
La plupart des infractions reprochées dans les affaires de violences conjugales étaient des violences (92,4 %) ; les autres étaient du chantage ou des menaces (6,4 %), des violences sexuelles (1,1 %) et des homicides ou tentatives d’homicide (0,2 %).
La réponse pénale du parquet aux auteurs de violences conjugales a été quatre fois sur dix une mesure alternative aux poursuites, deux fois sur trois un rappel à la loi. Une composition pénale a été mise en œuvre pour 4 % des auteurs ayant fait l’objet d’une réponse pénale ; cette mesure consiste le plus souvent en une obligation de faire un stage ou d’avoir un suivi social ou médical, mais aussi en une amende.
55 % des auteurs ayant reçu une réponse pénale ont été poursuivis devant le tribunal correctionnel. Selon le degré de gravité des violences commises, le parquet a décidé de poursuivre en procédant à un déferrement en vue d’une comparution immédiate (15 %) ou d’une convocation par procès-verbal du procureur avec placement sous contrôle judiciaire (24 %). 45 % des poursuites ont pris la forme d’une convocation par officier de police judiciaire remise à l’issue de la garde à vue. En cas de faits criminels ou de faits nécessitant des investigations complexes, une instruction a été ouverte ; l’instruction de l’affaire de 850 auteurs a été terminée en 2015.
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- Peiron (Denis), « Écoles hors contrat, le Sénat veut un régime plus strict », La Croix, 22 février 2018.
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- Poizat (Hélène), « SOS Papa 68 ne baisse pas la garde », L’Alsace, nº 23495, 22 février 2018, p. 36.
Article archivé au format PDF (1.76 Mo, 3 p.).