- « En Angola, l’avortement finalement interdit sauf en cas de viol ou de danger pour la vie de la mère », Gènéthique, 13 juin 2017.
Article archivé au format PDF (175 Ko, 1 p.).
- « Hérault : Elle laisse ses enfants seuls à la maison et passe la nuit en discothèque », 20 minutes, 13 juin 2017.
Article archivé au format PDF (318 Ko, 1 p.).
- « Né avant la fin du délai légal d’avortement : l’histoire d’un des bébés les plus prématurés de Grande-Bretagne », Gènéthique, 13 juin 2017.
Article archivé au format PDF (120 Ko, 1 p.).
- Collectif, Abortion Statistics, England and Wales: 2016, London, Department of Health, 13 juin 2017.
Le ministère britannique de la santé vient de rendre public son rapport annuel sur les statistiques de l’avortement. 190 406 femmes ont avorté en Angleterre et au Pays de Galles en 2016. Parmi elles, 3 208 ont avorté suite au diagnostic d’une anomalie fœtale (anomalies chromosomiques, malformations congénitales), dont 706 à cause d’une trisomie 21. Il y avait eu 689 avortements pour trisomie 21 en 2015 ; ce chiffre a augmenté de 46 % depuis 2010.
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- Collectif Schizophrénies, « La santé mentale, une chose trop grave pour être confiée aux seuls psychiatres », Le Monde Science & médecine, nº 22524, 14 juin 2017, p. 7.
Une critique qui vaut pour les psychastrologues commis aux expertises judiciaires…
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- Milliez (Jacques), La conservation des ovocytes, Paris, Académie nationale de médecine, 13 juin 2017.
Depuis 2011, en France, les ovocytes sont conservés par vitrification. Seules sont autorisées les conservations destinées à la préservation de la fertilité, donc les indications médicales. Cette technique s’adresse surtout aux femmes atteintes de pathologies malignes, dont un traitement gonadotoxique, par chimiothérapie ou radiothérapie, risque de dégrader la fonction ovarienne. Elle concerne également les femmes menacées d’insuffisance ovarienne prématurée.
À ces indications se sont ajoutées depuis quelques années des demandes dites « non médicales », en fait de palliation de l’infertilité liée à l’avancée en âge. Sans perspective prévisible de grossesse, surtout faute de stabilité de couple, des femmes sensibles à la baisse de la fertilité avec l’âge souhaitent faire prélever et conserver leurs ovocytes afin d’y avoir éventuellement recours plus tard, par fécondation in vitro, si elles éprouvaient alors des difficultés à concevoir. Les chances de grossesse dépendent essentiellement de l’âge auquel les ovocytes ont été recueillis, au mieux avant trente-cinq ans.
Ce rapport discute les avantages et les risques possibles de ces démarches. Non autorisées en France, elles sont cependant effectuées par des Françaises dans des centres étrangers. Par ailleurs, la loi de bioéthique du 7 juillet 2011 a étendu aux femmes majeures n’ayant jamais procréé la possibilité de participer au don d’ovocytes. En contrepartie, ces femmes peuvent conserver pour elles-mêmes une partie des ovocytes recueillis, si leur nombre le permet. Ainsi a été ouverte la voie légale de la conservation des ovocytes pour palliation de l’infertilité liée à l’âge.
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