Communiqué de presse de l’association J’aime mes 2 parents
Samedi 16 novembre 2024 à 12 h 00
Au Parc de la Mairie d’Hellemmes (59260)
Dans le cadre de la journée internationale des droits de l’enfant
La plantation de l’arbre des droits à la famille
Le troisième anniversaire de l’arbre de la coparentalité planté le 20 novembre 2021
Le premier anniversaire de l’arbre des droits de l’enfant planté le 18 novembre 2023
Qu’en est-il du respect des droits de l’enfant et du droit à la famille ?
Le samedi 16 novembre prochain, à quelques jours de la 71e journée internationale de l’enfance et de la 35e journée internationale des droits de l’enfant, l’association J’aime mes 2 parents, organise, au côté du Conseil communal des enfants entourant M. Franck Gherbi, maire d’Hellemmes, la plantation de l’arbre des droits à la famille au Parc de la Mairie, arbre qui viendra rejoindre l’arbre de la coparentalité, enraciné le samedi 20 novembre 2021 et celui des droits de l’enfant, mis en terre le samedi 18 novembre 2023, afin de célébrer cette journée internationale.
Ce troisième arbre viendra ainsi rappeler, à chaque instant, jour après jour, que nul n’a le droit de bafouer la famille, les familles, aussi multiples et différentes soient-elles aujourd’hui, incluant enfants, parents, grands-parents mais aussi les autres membres familiaux et proches importants à la vie de l’enfant.
Les uns ne vont pas sans les autres : enfants, parents, familles.
La plantation de l’arbre des droits à la famille viendra, par conséquent, compléter et achever cette « triade arboréenne » au parc de la Mairie d’Hellemmes
Planter un arbre, celui des droits à la famille en ce samedi 16 novembre prochain, c’est rappeler l’un des fondamentaux de notre société, celui de la famille, celui des familles et de ses valeurs, de leurs valeurs, celui de l’enfant, le fruit de l’union de ses parents et véritable ciment familial.
Associer les autres membres familiaux, à commencer par les grands-parents, jouant généralement un rôle primordial dans la formation de l’enfant et pour lesquels tous les spécialistes s’accordent sur le fait qu’ils jouent un rôle essentiel à l’enfant et son développement, passant par l’écoute et le dialogue, l’apprentissage et la transmission du savoir-faire et du patrimoine familial, autant que d’autres ascendants et proches de l’enfant, apparaît comme essentiel.
« La famille c’est une richesse incroyable, ça donne des outils pour pouvoir affronter les moments extraordinaires, les moments plus difficiles, les hauts, les bas. »
Ce troisième arbre pourra ainsi témoigner de l’urgence à agir au profit de la protection des liens familiaux, des droits familiaux, afin que l’enfant puisse en profiter et bénéficier de l’entretien indéfectible des relations personnelles avec ses ascendants ; un témoignage qui, ainsi, perdurera ad vitam.
Tous les enfants doivent avoir les mêmes chances de s’épanouir et de grandir auprès de leurs ascendants, tant maternels que paternels. Leur famille maternelle et leur famille paternelle représentent mutuellement une communauté de personnes réunies par des liens de parenté existant dans toutes les sociétés humaines. Il est donc normal que les enfants et les adultes appartenant à cette communauté puissent donc entretenir des liens entre eux, au-delà de la séparation parentale.
Depuis plus de douze ans maintenant, l’association J’aime mes 2 parents entend les SOS de milliers de parents et de grands-parents (près de cinq mille à ce jour), en tant que victimes d’exclusion parentale s’accompagnant le plus souvent de phénomènes d’emprise, de manipulations et de violences psychologiques infligées aux enfants… Cela suffit !
De telles violences, de tels abus, n’ont nul droit d’être ! Stop !
Tout comme l’arbre est vivant et persistant, les droits fondamentaux de l’enfant, le droit fondamental à la vie familiale, doivent être tout aussi vivaces et, par conséquent, respectés, assurément appliqués, à chaque instant
Nous avons invité Madame Agnès Canayer, ministre déléguée à la Famille et à la Petite enfance, et Monsieur Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes (ex-député du Nord), pour être respectivement marraine et parrain de cet arbre (un frêne à feuilles étroites, symbole mythologique d’immortalité).
Leur présence à cette cérémonie permettrait de redonner vraiment un peu d’espoir à tant de victimes qui se sentent totalement abandonnées par l’État et ses pouvoirs publics depuis de trop nombreuses années, hélas, face à l’absence de respect vis-à-vis des droits de l’enfant lors des séparations parentales conflictuelles, tout comme le manque réel de respect envers les droits à la famille, compte tenu d’une inadmissible exclusion parentale qui s’installe lors des conflits aigus pouvant se développer et l’instrumentalisation des enfants afin portant gravement atteinte à leur patrimoine et racines maternels ou paternels.
Le rendez-vous est donc donné le :
Samedi 16 novembre 2024 à 12 h 00
Au Parc de la Mairie d’Hellemmes (59260)
155 rue Roger Salengro
Nul ne peut demeurer insensible à la cause des droits à la famille et ceux des enfants.
Rappelons que la cause des droits à la famille et celle des droits de l’enfant appartiennent indissociablement au droit fondamental à la vie familiale [1], au maintien des lien familiaux de l’enfant [2] et en définitive à la famille [3].
Soyez les bienvenus afin de nous retrouver ce samedi 16 novembre à 12 h 00.
« La famille sera toujours la base des sociétés. »
Pour les membres du conseil d’administration de l’association J’aime mes 2 parents :
Arnaud Dewannain, nouveau président
François Scheefer, président d’honneur (président jusqu’à mars 2024), chargé des relations avec les ministères et autres pouvoirs publics français, avec les instances européennes et internationales
Notes
- Cf. article 8.1 de la Convention européenne des droits de l’homme et article 7 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne.
- Cf. articles 9 et 18 de la Convention internationale des droits de l’enfant.
- Cf. article 16 de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
Communiqué archivé au format PDF (1.19 Mo, 3 p.).