Revue de presse du 20 février 2019

« Après deux fausses couches, j’aurais aimé qu’on fasse aussi attention à ma douleur de père », Huffpost, 20 février 2019.

Article archivé au format PDF (94 Ko, 3 p.).

« Montrer le “côté sombre” de l’avortement », Le Matin, 20 février 2019.

Article archivé au format PDF (173 Ko, 1 p.).

Barnitz (Katy), « Couple file lawsuit after failed abortion attempt », Albuquerque Journal, 20 février 2019.

Article archivé au format PDF (87 Ko, 3 p.).

Brasseur (Arnaud), « Roye : Première permanence pour SOS papa ce samedi », Le Bonhomme Picard, nº 3538, 20 février 2019, p. 13.

Article archivé au format PDF (533 Ko, 1 p.).

Conruyt (Claire), « Dominique Bona : “La féminisation permettra aux femmes de sortir d’un malaise linguistique” », Le Figaro, 20 février 2019.

Article archivé au format PDF (115 Ko, 3 p.).

Derville (Tugdual), « Parents 1 et 2 : les leçons d’une tentative de neutralisation », Aleteia, 20 février 2019.

Article archivé au format PDF (223 Ko, 5 p.).

De Sutter (Petra), Don anonyme de sperme et d’ovocytes : trouver un équilibre entre les droits des parents, des donneurs et des enfants, Strasbourg, Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, 20 février 2019.

Rapport archivé au format PDF (278 Ko, 11 p.).

Grabet (Laurent), « L’éternel blues des pères divorcés », Lausanne Cités, nº 1953, 20 février 2019, p. 3.

Article archivé au format PDF (636 Ko, 2 p.).

Kottelat (Philippe), « Des lois d’arrière-garde », Lausanne Cités, nº 1953, 20 février 2019, p. 3.

Article archivé au format PDF (636 Ko, 2 p.).

Lucas (Léa), « La féminisation du nom des métiers va être officiellement acceptée », Le Figaro, 20 février 2019.

Article archivé au format PDF (84 Ko, 2 p.).

Pivet (Esther), Enquête sur la théorie du genre, Perpignan, Artège, 20 février 2019.

Alors qu’elle était ministre de l’Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem proclamait : « La théorie du genre n’existe pas. » Cela fait pourtant presque dix ans que la porte de l’école s’est ouverte à cette idéologie prônant la déconstruction des « stéréotypes sexués » qui nous seraient imposés par la culture et l’éducation : on ne naîtrait pas fille ou garçon, on nous imposerait de le devenir. Sous couvert de combats contre l’homophobie et pour l’égalité des sexes, cette entreprise de déconstruction vient toucher les plus jeunes sans que leurs parents en soient informés et puissent réagir. Et ce n’est pas fini…

Mariée et mère de quatre enfants, polytechnicienne, Esther Pivet est la coordinatrice du collectif Vigi Gender, qui assure un travail d’information auprès des enseignants et des parents sur la diffusion de la théorie du genre à l’école. Preuves à l’appui, son livre veut être un cri d’alarme sur cette confusion qui se répand, et qui peut faire des ravages chez les enfants et les jeunes. Éducation à la sexualité, interventions d’associations militantes, livres, lobbying dans la culture et les entreprises, manuels, politiques publiques, programmes, spectacles : tous les moyens d’action employés par les tenants du genre sont passés au crible.