Communiqué de presse de SOS PAPA Mo Guyane – Coparentalité
L’association SOS PAPA Mo Guyane – Coparentalité s’associe à votre demande.
Madame Jacqueline Sauvage doit être immédiatement libérée.
Cette femme et ses enfants ont été pendant quarante-sept ans victimes d’une violence abjecte.
Il est intolérable que les responsables des institutions chargées de protéger les personnes et les enfants se dédouanent en faisant de Madame Sauvage le bouc-émissaire de leur aveuglement borné.
Eux qui, par négligence ou par indifférence, ont enfermé socialement Madame Sauvage dans ce huis clos de l’horreur.
Elle n’a pas vécu pendant quarante-sept ans dans une prison ! Mais dans un espace concentrationnaire fait de violence physique, sexuelle et psychologique qui n’en portait pas le nom !
Voilà pourquoi Madame Sauvage doit être libérée immédiatement.
Les beaux penseurs glosent sur le pourquoi n’a-t-elle pas posé une plainte, pourquoi ceci ou cela. Mais Madame Sauvage a été une adolescente qui s’est retrouvée immédiatement sous l’emprise d’un être violent.
Quelle expérience avait-elle de la vie ? Quelle autonomie ?
Sont-ils si aveugles qu’ils ne puissent appréhender l’annihilation de la personne que furent ces violences physiques, sexuelles et psychologiques ?
Cette machine à broyer qui va jusqu’à ôter le plus simple réflexe de survie.
Nous appelons à la libération immédiate de Madame Sauvage, pour que, elle, qui a survécu, puisse commencer un travail de reconstruction avec ses enfants.
Libérez immédiatement Madame Sauvage !
Communiqué archivé au format PDF (35 Ko, 1 p.).
La publication de ce communiqué est faite à seule fin d’information de nos lecteurs. P@ternet n’en approuve le contenu en aucune façon.