- « États-Unis : l’Oklahoma interdit l’avortement pour trisomie ou anomalie génétique », Gènéthique, 20 avril 2016.
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- Grangeat (Chantal et Michel), « Alternatives Économiques : qui doit garder les enfants ? », Résidence Alternée, 20 avril 2016.
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- Lesegretain (Claire), « L’archevêque de Cantorbéry parle du mariage homosexuel avec le président du Zimbabwe », Urbi & Orbi, 20 avril 2016.
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- Lichter (Daniel T.), et alii, « Pathways to a Stable Union? Pregnancy and Childbearing Among Cohabiting and Married Couples », Population Research and Policy Review, Vol. 35, nº 3, juin 2016 (en ligne le 20 avril 2016), pp. 377-399.
Cette étude analyse la stabilité des couples mariés ou non après une première naissance. Son originalité par rapport à de précédentes recherches est de comparer les trajectoires d’unions ayant commencé avec une grossesse à celles dans lesquelles une grossesse n’est venue qu’après la cohabitation. Les données américaines du National Survey of Family Growth pour la période 2006-2013 indiquent qu’environ une première naissance sur cinq était associée à des transitions rapides de la conception à la cohabitation ou au mariage. La cohabitation après une grossesse – en particulier non désirée – ne mène cependant pas à la réussite conjugale ou à la stabilité de l’union. Par rapport aux mariages, les taux de dissolution après la naissance étaient particulièrement élevés pour les couples qui avaient commencé leur cohabitation après la conception. Moins d’un tiers d’entre eux se sont mariés, et ces mariages ont connu des taux de dissolution élevés. Les résultats suggèrent également que ce sont les couples cohabitants les plus engagés qui se sont mariés après une grossesse, et que le système familial américain est en train d’être transformé par de nouveaux modèles de fécondité chez les couples cohabitants.
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