- « Le nombre d’avortements diminue en Allemagne », Gènéthique, 22 mars 2016.
Article archivé au format PDF (105 Ko, 1 p.).
- Collectif, What works to enhance inter-parental relationships and improve outcomes for children, London, Early Intervention Foundation, 22 mars 2016.
Réalisée pour le Department for Work and Pensions (ministère du Travail et des Retraites) britannique, cette étude de la Early Intervention Foundation porte sur ce qui peut contribuer à améliorer les relations entre parents et leurs conséquences pour les enfants. En voici les principales conclusions :
- La qualité de la relation entre les parents, en particulier la façon dont ils communiquent, est de plus en plus reconnue comme ayant une influence primordiale sur l’efficacité des pratiques parentales ainsi que sur la santé mentale à long terme et les chances futures de leurs enfants dans la vie.
- Les parents qui se livrent à des conflits fréquents, intenses et mal résolus mettent en danger la santé mentale à long terme et les chances futures de leurs enfants dans la vie.
- Les enfants de tous âges peuvent être affectés par un conflit parental destructeur, dont les effets apparaîtront pendant la petite enfance, l’enfance, l’adolescence et l’âge adulte.
- L’environnement familial élargi est un facteur important qui peut aggraver ou atténuer les conséquences d’un conflit parental sur les enfants.
- Les conflits entre parents peuvent avoir un impact négatif tant sur la relation mère-enfant que sur la relation père-enfant, mais il est démontré que cette dernière est plus susceptible d’être impactée.
En tout état de cause, cette étude montre que des relations parentales de qualité – que le couple soit ensemble ou non – et la capacité de résoudre les conflits ont une énorme influence sur les chances à long terme des enfants. Cependant, l’amélioration des relations parentales n’est ni demandée ni même envisagée par les nombreux services destinés aux enfants et aux familles.
Tout cela indique que la relation de couple doit être l’objet d’une intervention précoce, qui a des implications politiques dans un large éventail de domaines, allant d’approches efficaces de la santé mentale des enfants à la gestion des comportements des enfants. Il est particulièrement important que les décideurs comprennent que les interventions et le soutien doivent viser et le couple et la relation parentale (la relation mère-enfant et la relation père-enfant) : cibler la seule relation parent-enfant dans le contexte d’un conflit parental en cours n’aboutit pas à des résultats positifs durables pour les enfants.
Beaucoup reste encore à faire pour connaître ce qui fonctionne, dans quelles circonstances et pour qui, et savoir comment mettre en œuvre des interventions efficaces, garantissant une pratique de qualité, un contrôle et un impact appropriés. Il est également important que tout investissement futur du gouvernement et d’autres bailleurs de fonds permette une évaluation efficace et le partage des connaissances des praticiens travaillant sur le terrain.
Rapport archivé au format PDF (1.35 Mo, 134 p.).
Synthèse archivée au format PDF (501 Ko, 8 p.).
Alexandre Lerch
- « Escroquerie en matière de vente d’enfant : à quand le code de la consommation ? », Juristes pour l’enfance, 22 mars 2016.
Article archivé au format PDF (67 Ko, 1 p.).
- « Vendre des enfants, ça va, mais interdiction d’escroquer les acheteurs ? », Juristes pour l’enfance, 22 mars 2016.
Article archivé au format PDF (69 Ko, 1 p.).
- Jova (Pierre), « La mère porteuse qui a vendu plusieurs fois ses enfants condamnée à un an de prison », Le Figaro, 23 mars 2016.
Article archivé au format PDF (26 Ko, 2 p.).