Communiqué de presse
Albert Cesto est contraint de venir de Paris, où il habite depuis toujours, jusqu’à Limoges… pour ne voir son fils Nicolas, huit ans, que via une sinistre séance de « point rencontre » limitée à trois heures. Cette torture, qui a lieu une fois par mois… dure depuis cinq ans.
Le résultat, très classique en la matière, est que l’enfant en manque de repères considère largement son père comme un étranger, et est en dérive scolaire.
En outre, l’école a fait un signalement pour maltraitances possibles à l’enfant, que le juge pour enfant a décidé de négliger. Au contraire, la sous-préfecture (Madame Marie-Pervanche Plaza) est réellement préoccupée et a saisi elle-même le recteur d’académie et le procureur.
Ainsi, pour la huitième fois à l’occasion d’un « point rencontre », ce vendredi 24 juillet, Albert Cesto fait un sit-in devant le tribunal de Limoges, de 11 heures à 17 heures.
Il donnera sur place toutes précisions, en compagnie d’un avocat.