Communiqué de presse de SOS PAPA
Concernant sa fille Loreley, il est victime de la justice familiale française qui vient de réussir la « prouesse » d’écrire dans le même jugement que :
- la mère (allemande), qui avait toujours habité avec lui, n’avait pas le droit de quitter la France en emmenant Loreley ;
- la mère se voit néanmoins autorisée à rester en Allemagne avec Loreley !
En conséquence, Rodrig est venu de Carpentras à Paris pour manifester sa colère en squattant le bord de l’esplanade du Sacré-Cœur à partir de ce matin, pour un temps indéfini.
Rodrig demande qu’une audience d’appel soit fixée en urgence, dès le mois de janvier, par le tribunal de Nîmes, l’écoulement du temps étant mortel en matière de préservation du lien enfant-père [1]. Il demande l’intervention immédiate du Premier Ministre, responsable des institutions.
SOS PAPA le soutient dans son action car Rodrig a conscience de lutter en même temps contre la discrimination systématique faite aux pères, qui doit cesser sans plus attendre par l’adoption de nouvelles lois de véritable égalité et justice :
- résidence alternée égalitaire par défaut ;
- sanctions réelles en cas de non représentation d’enfant, d’éloignement géographique, de non-respect de l’autorité parentale conjointe, d’accusation mensongère (la seule justification par la mère de Loreley est la « tarte à la crème » d’une violence imaginaire du père, sur laquelle le juge a explicitement écrit qu’il n’y portait aucun crédit).
Jean Latizeau, Président
Notes
1. Cf. Régnier-Loilier (Arnaud), « Quand la séparation des parents s’accompagne d’une rupture du lien entre le père et l’enfant », Population & Sociétés, nº 500, mai 2013 (format PDF, 1.30 Mo, 4 p.).