Revue de presse du 3 octobre 2019

Revue de presse



  • Déclaration de l’Union nationale des associations familiales au Conseil de la Caisse nationale de l’assurance maladie, 3 octobre 2019.

  • Déclaration de l’Union nationale des associations familiales devant la Caisse nationale des allocations familiales, 3 octobre 2019.









  • Chapuis (Nicolas), « Il y a toujours plus de pression », Le Monde, nº 23244, 4 octobre 2019, p. 12.

« La vie de famille s’en est ressentie douloureusement pour ce jeune père, qui raille la “prime « gilets jaunes » de 150 euros” concédée par le gouvernement. “Je suis divorcé, avec mon enfant [à charge] un week-end sur deux. À cause de la mobilisation, j’ai raté sept week-ends de garde. Sept…” »


  • Cordier (Solène), « Dons de sperme : “L’anonymat était pour moi une évidence” », Le Monde, nº 23244, 4 octobre 2019, p. 12.

Violences, femmes et handicapLes femmes en situation de handicap seraient particulièrement exposées aux violences, aussi bien dans le cercle familial que dans les institutions spécialisées. Marie Rabatel, présidente de l’Association francophone de femmes autistes, affirme même que handicap et violences faites aux femmes sont liés : « Si le handicap accroît le risque de violence, les violences accroissent également le handicap » (p. 144).

Alertée par ce genre de présomptions, la délégation aux droits des femmes du Sénat a décidé de s’attaquer à un sujet qui, a priori, concerne tout autant les femmes que les hommes, mais en laissant ces derniers de côté – la situation de handicap est sans doute consubstantielle à la masculinité et ne mérite donc aucune attention particulière…

Ce rapport unilatéral aborde divers problèmes, tels que l’accueil et la prise en charge adaptés des femmes en situation de handicap, leur protection contre les violences, le renforcement de leur autonomie face aux nombreuses discriminations qui compliqueraient leurs parcours professionnels, etc. Il est assorti de quatorze recommandations, autour de quatre axes :

  • une meilleure connaissance du phénomène par des études et des statistiques régulièrement actualisées ;
  • l’intensification de la formation et de la sensibilisation de tous les acteurs, bénévoles et professionnels ;
  • le renforcement de l’autonomie financière et professionnelle des femmes en situation de handicap ;
  • la nécessité d’efforts concrets en termes d’accès aux soins, notamment gynécologiques, et d’accessibilité de la chaîne judiciaire ainsi que des lieux d’hébergement d’urgence.

  • Daufresne (Louis), Morinière (Pascale), « Le Grand Témoin », Radio Notre-Dame, 3 octobre 2019.




Divorce et séparation sont devenus des événements de la vie courante dans de nombreux pays européens. Plusieurs études ont montré que les personnes divorcées ou séparées sont susceptibles de connaître une période d’instabilité résidentielle et de passer de la propriété à la location. On en sait cependant peu sur les niveaux d’accession à la propriété après la séparation à long terme. Les auteurs de cet article ont donc étendu les recherches précédentes en examinant les changements dans les niveaux d’accession à la propriété après la séparation dans les sous-groupes de la population finlandaise selon le temps, en cherchant notamment à savoir si et comment les niveaux d’accession à la propriété après la séparation sont associés à la remise en couple et au sexe.

Les niveaux d’accession à la propriété parmi les individus récemment séparés sont faibles comparativement aux personnes en couple, mais ils augmentent avec le temps. Ils demeurent cependant faibles chez les personnes séparées qui restent célibataires, ne s’élevant que chez les personnes remariées, lesquelles sont plus susceptibles de déménager ou de redevenir propriétaires. Ils sont aussi légèrement plus faibles chez les femmes séparées que chez les hommes séparés. L’étude confirme que de nombreuses personnes passent de la propriété à la location après une séparation, et que la plupart des locataires le restent.



  • McFarlane (Andrew), « Guidance as to reporting in the Family Courts », 3 octobre 2019.

Rédigées par l’actuel président de la Family Division de la High Court of Justice, ces directives visent à réguler la participation des journalistes lors des audiences tenues devant les tribunaux de la famille.



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