Revue de presse du 23 mai 2018

Revue de presse


  • Bernard (Philippe), « La libéralisation de l’IVG divise l’Irlande », Le Monde, nº 22818, 24 mai 2018, p. 2.


Études & Résultats, nº 1063, 23 mai 2018En 2013, en France métropolitaine, près d’un quart des ménages habitaient dans un logement comportant au moins un défaut de qualité et 6 % avec au moins deux défauts. Parmi seize critères de défaut, définis à partir du décret sur le logement décent du 30 janvier 2002 et de l’enquête Logement de l’Insee, les plus souvent cités sont des problèmes d’infiltrations ou d’inondations et d’évacuation des eaux, une installation de chauffage insuffisante et des remontées d’odeur fréquentes.

L’absence d’équipements de base (chauffage, coin cuisine, eau courante, prise de terre, salle de bain, toilettes) est marginale : 3 % des ménages vivaient dans un logement ne présentant pas au moins un de ces équipements. 16 % habitaient un logement présentant un défaut lié à une installation dégradée ou insuffisante et 8 % dans un logement ayant un défaut provenant du bâti.

Les familles dites « monoparentales », les locataires, les ménages jeunes et ceux vivant dans les grandes villes sont plus confrontés aux défauts de qualité de leur logement que la moyenne. Plus le niveau de vie du ménage est élevé, moins ce dernier occupe un logement présentant au moins un défaut de qualité. Les ménages les plus modestes sont davantage concernés par le cumul des défauts.


  • Gautheret (Jérôme), « En Italie, l’IVG est légale, mais 70 % des médecins refusent de la pratiquer », Le Monde, nº 22818, 24 mai 2018, p. 3.



  • Iwaniuk (Jakub), « L’avortement pour risque de handicap mis en cause en Pologne », Le Monde, nº 22818, 24 mai 2018, p. 3.


Émission avec Thierry Berger (président de l’association Égalité parentale), Jean-Pierre Cambefort (psychologue) et Sabrina de Dinechin (médiatrice familiale).


Après l’IVG. Des femmes témoignentLe « droit à l’avortement » est devenu aujourd’hui si « fondamental » qu’il est difficile pour les professionnels de la santé d’évoquer les risques de l’avortement pour la santé physique ou psychologique des femmes, alors qu’ils savent bien qu’elles n’en sortent pas toujours indemnes.

Marie Philippe a créé une association qui gère une écoute téléphonique et un site internet en toute indépendance. Elle a ainsi pu analyser pendant neuf ans les aspects psychologiques de la demande d’avortement en ayant accueilli plus de dix mille femmes avant ou après un avortement. Son expertise l’a conduite à faire une investigation poussée pour dévoiler une autre face de l’avortement, de ses causes et de ses conséquences. Des médecins et psychologues sont venus compléter dans leur spécialité cette approche disruptive.

La « liberté » de la femme est-elle bien respectée ? Quelles sont les pressions de l’entourage pour l’inciter à l’avortement ? La frontière entre enfant « désiré » ou « non désiré » est-elle si tranchée ? Cet acte est-il vraiment sans conséquences ?

En écoutant les femmes confrontées à ce choix difficile, cet ouvrage dévoile une réalité cachée et douloureuse que notre société peine à entendre. Il est urgent d’évoquer la souffrance de ces femmes et de libérer leur parole.

Francesco Arcuri vs Juana Rivas

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