Revue de presse du 23 mars 2017

« Avortement en Île-de-France : envers et contre tout », Gènéthique, 23 mars 2017.

Article archivé au format PDF (134 Ko, 2 p.).

« Drôme : un homme tue sa famille et se suicide », CNEWS Matin, nº 2043, 23 mars 2017, p. 6.

Article archivé au format PDF (774 Ko, 2 p.).

« Refus d’un mariage gay : une maire relaxée », Le Figaro, 23 mars 2017.

Article archivé au format PDF (22 Ko, 1 p.).

« Le Territoire du Nord de l’Australie réforme sa loi sur l’avortement », Gènéthique, 23 mars 2017.

Article archivé au format PDF (72 Ko, 1 p.).

« Vers l’arrêt sur demande », CNEWS Matin, nº 2043, 23 mars 2017, p. 4.

Article archivé au format PDF (712 Ko, 2 p.).

Berger (Emmanuel), Dennevault (Céline), « Les salaires dans la fonction publique hospitalière », Insee Première, nº 1641, 23 mars 2017.

Où on retrouve la logorrhée féministe victimaire bien connue :

« En 2014, l’écart de rémunération entre femmes et hommes diminue légèrement dans la fonction publique hospitalière mais reste important : le salaire net des femmes est inférieur de 20,9 % à celui des hommes. Toutes choses égales par ailleurs, l’écart salarial moyen entre femmes et hommes se réduit à 3,4 %. » (p. 1)

« Toutes choses égales par ailleurs », c’est-à-dire en faisant abstraction « des répartitions différentes des hommes et des femmes selon les métiers (catégorie hiérarchique, statut, filières d’emploi) » et de l’« effet âge » (p. 3). Toutes choses encore plus égales par ailleurs, c’est-à-dire en faisant abstraction des autres facteurs objectifs ici passés sous silence (heures supplémentaires, interruptions de carrière, temps partiel, etc.), l’écart salarial est forcément nul dans un secteur professionnel où la rémunération est définie, comme l’ensemble des règles de gestion des carrières, à partir de dispositions réglementaires et statutaires fixées par la puissance publique et totalement asexuées.

Article archivé au format PDF (1.02 Mo, 4 p.).

Blatchford (Christie), « Another tale of “justice” from family court », National Post, 23 mars 2017.

Article archivé au format PDF (195 Ko, 3 p.).

Cebolla-Boado (Héctor), Radl (Jonas), Salazar (Leire), « Does Living in a Fatherless Household Compromise Educational Success? A Comparative Study of Cognitive and Non-cognitive Skills », European Journal of Population, Volume 33, nº 2, mai 2017 (en ligne : 23 mars 2017), pp. 217-242.

Les auteurs ont étudié la relation entre diverses structures familiales et le niveau de compétences cognitives et non cognitives chez des élèves de quinze à seize ans. Les données transnationales du Programme for International Student Assessment de 2012 ont été utilisées. En cartographiant les inégalités selon les structures familiales dans trente-trois pays développés, cette étude fournit des indicateurs sérieux sur la relation entre la structure familiale et les compétences cognitives et non cognitives. L’étude fournit trois résultats clés : premièrement, l’absence de père ainsi que la cohabitation avec les grands-parents est associée à des résultats défavorables pour les enfants dans pratiquement tous les pays développés. Deuxièmement, cela est généralement vrai en termes de compétences à la fois cognitives et non cognitives, bien que le désavantage lié à ces deux structures familiales soit notablement plus fort dans le premier domaine que dans le second. Enfin, il existe une diversité transnationale marquée dans les effets associés à la présence de frères et sœurs ou de grands-parents.

Article archivé au format PDF (663 Ko, 26 p.).

Collectif, Americans Widely Support Paid Family and Medical Leave, but Differ Over Specific Policies, Washington, Pew Research Center, 23 mars 2017.

Rapport archivé au format PDF (680 Ko, 88 p.).

Collectif, Géographie de l’école, Paris, Ministère de l’éducation nationale, 23 mars 2017 (douzième édition).

La Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance du ministère de l’éducation nationale a publié aujourd’hui la douzième édition de la Géographie de l’école. Au regard de l’environnement familial, les auteurs de ce rapport font un constat (p. 16) qui ne surprendra personne :

« Les conditions de vie familiale de l’enfant ont une influence sur sa réussite et son parcours scolaire. Un parent manquant peut être un soutien en moins pour l’élève. »

Document archivé au format PDF (157 Mo, 135 p.).

Delvaux (Béatrice), « Controverse anti-avortement à l’UCL : l’enseignement doit être transparent », Le Soir, 23 mars 2017.

Article archivé au format PDF (148 Ko, 2 p.).

Donzeau (Nathalie), Duval (Jonathan), « L’emploi dans la fonction publique en 2015 », Insee Première, nº 1640, 23 mars 2017.

Où on apprend que la fonction publique de l’État est toujours plus féminisée :

« Déjà largement majoritaire dans la fonction publique, la part des femmes augmente très légèrement en 2015, pour atteindre 62,2 % des salariés. C’est essentiellement la FPE qui est concernée par cette progression (+ 0,3 point). » (p. 2).

Article archivé au format PDF (725 Ko, 4 p.).

Hernandez-Dispaux (Joaquim), « IVG : on n’interrompra jamais le travail de la raison », Le Soir, 23 mars 2017.

Article archivé au format PDF (81 Ko, 2 p.).

Mariani (Elena), Özcan (Berkay), Goisis (Alice), « Family Trajectories and Well-being of Children Born to Lone Mothers in the UK », European Journal of Population, Volume 33, nº 2, mai 2017 (en ligne : 23 mars 2017), pp. 185-215.

Les auteurs ont étudié la relation entre le bien-être des enfants et l’hétérogénéité des trajectoires de partenariat des mères seules. Ils ont utilisé pour ce faire les données de la Millennium Cohort Study, qui suit un échantillon important d’enfants nés au Royaume-Uni entre 2000 et 2002. Les enfants nés de mères seules ont été divisés en quatre groupes en fonction des trajectoires de partenariat de leur mère entre la naissance et l’âge de sept ans, ce qui couvre plus de 80 % des expériences familiales de ces enfants. Les auteurs ont ensuite analysé la manière dont ces trajectoires sont associées à des marqueurs de résultats cognitifs, sanitaires et socio-émotionnels, mesurés vers l’âge de sept ans. Ils ont constaté que les enfants dont le père biologique est fermement établi dans le foyer ont de meilleurs résultats cognitifs et socio-émotionnels que les enfants vivant de manière continue avec des mères seules. Les enfants dont la trajectoire est caractérisée par la cohabitation avec un beau-père ou par la disparition du père biologique ont des résultats similaires à ceux des enfants vivant de manière continue avec une mère seule.

Article archivé au format PDF (619 Ko, 31 p.).