Limoges : du nouveau pour le père coupé à l’extrême de son fils

Communiqué de presse

Limoges

Albert Cesto est contraint de venir de Paris, où il habite depuis toujours, jusqu’à Limoges… pour ne voir son fils Nicolas, huit ans, que via une sinistre séance de « point rencontre » limitée à trois heures. Cette torture, qui a lieu une fois par mois… dure depuis cinq ans.

Le résultat, très classique en la matière, est que l’enfant en manque de repères considère largement son père comme un étranger, et est en dérive scolaire.

L’enfant subirait en outre des violences dans son cadre de vie habituel : l’école a fait un signalement, d’où un dépôt de plainte de M. Cesto.

Pour la sixième fois à l’occasion d’un « point rencontre », ce vendredi 22 mai, Albert Cesto fait un sit-in devant le tribunal de Limoges, de 11 heures à 17 heures, accompagné de sympathisants.

Ils seront travestis en femmes afin d’évoquer la discrimination de genre qui est la règle dans les juridictions familiales.

À titre d’exemple, il est rappelé que, selon les statistiques du ministère de la Justice (!), la résidence alternée (« hébergement égalitaire » dans le code civil belge) est accordée dans 99,5 % des cas quand les mères y consentent, mais est refusée aux pères qui la souhaitent dans plus de 75 % des cas quand les mères opposent leur veto.

M. Cesto donnera sur place d’autres statistiques sur la destruction systématique du lien enfants-pères.

Albert Cesto

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